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Claude Eidelstein ne jettera pas la pierre...
Tourmente poitevine ou la pression fiscale décomplexée
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Fibre budgétaire : cachez cette taxe qu'un rigoureux socialiste ne saurait voir !
Le transport gratuit d'une exaspération budgétaire
0,9% : l'Impôt d'un passé de l'Imprévoyance
Alain Claeys a sauvé la CAP de la faillite !
La Sarkozie transporte la CAP à grande vitesse
Poitiers, une héritière un peu gauche
Poitiers s'enlise dans la précarité
La CAP revisite le quart d'heure poitevin
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Alain Claeys contraint et forcé à jouer Collectif
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Quand Alain Claeys caresse la démocratie participative
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CAP sur LGV : le côté obscur de la transparence
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CAP : l'attelle du 18 juin (acte 2)
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LGV : l'État Sarkozy c'est la CAP ...itulation ! (acte 2)
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Huis clos de Poitiers, une certaine idée de la transparence (acte 2)
Huis clos de Poitiers, une certaine idée de la transparence (acte 1)
Entre Rachida Dati et Alain Claeys, un lapin rose se pose (acte 2)
Entre Rachida Dati et Alain Claeys, un lapin rose se pose (acte 1)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 5)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 4)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 3)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 2)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 1)
Conseil CAP : Philippe Brottier, dignité fontenoise (acte 3)
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39ème Chronique
Quand Alain Claeys caresse la démocratie participative
Kritix, le Monday 23 November 2009 -
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Quid du dialogue social entre les murs du système Claeys ? Depuis mi-septembre 2009, le bruit court... et quelle rumeur ! Que le personnel municipal, communautaire et du CCAS s'estime mal traité par les méthodes de la DRH sous l'autorité du cabinet du président député-maire... Ces comportements licencieux de coursives jouent tristement l'opacité de la prétendue transparence... Il se trouverait que les affreux contempteurs de la quiétude claeysienne trouvent à redire en matière de dialogue social et d'organisation du travail... À Poitiers, on filme le travail, mais pas celui exécuté par son administration territoriale et pour cause ! Il semblerait que le cabinet du maire mette, en matière d'organisation du travail, les salariés devant le fait accompli par le cynisme d'un entrelacs de concertations des plus formelles. Des sources en attestent dont nous tairons l'origine pour ne pas faire le jeu d'amicales pressions : ce jeu de la menace inhérent à une certaine pratique du pouvoir que l'autoritarisme ne saurait lui envier... Récemment, cette condescendance usa outrageusement les crédulités sur le dossier de la LGV Poitiers-Limoges !
Magazine "Je sais tout", septembre 1910.
Scan Kritix.com
Officiellement, il n'y a rien à signaler... Le maire Alain Claeys est toujours prompt à dénoncer le modèle suicidaire d'Orange (ex France Telecom) et à ne pas discourir sur le linge sale de l'administration territoriale... Et pourtant, le malaise est palpable. Les tensions parmi les personnels sont partout prégnantes, et pourtant la presse locale ne s'en fait aucunement l'écho : nul n'oserait croire en une quelconque complaisance... Les journalistes doivent répondre par priorité à leur employeur... Et comme en Sarkozie c'est une grande famille et que gouverner en Claeysie c'est s'apporter les douceurs de la commission des finances d'une assemblée nationale à majorité UMP ; alors comme vous l'aurez remarquer, tout est pour le mieux dans le « meilleur » de ce monde. La gouvernance de la DRH de Poitiers répond d'une politique de rupture : une méthode de management peu étrangère à l'efficience sarkozyste ! Durant la séance du conseil municipal de Poitiers du 16 novembre 2009 déjà bien entamée, le citoyen élu Alain Claeys sut tenir à bon escient l'usage de ses mandats : la conseillère Maryse Desbourdes se demandera à plusieurs reprises à qui elle était en train de s'adresser, tant les compétences du même édile entraient constamment en conflit. Pauvre Aurélien Tricot ! Le dircab' du précédent maire Jacques Santrot et adjoint au sport, doit courir la collectivité et panser les infrastructures sportives de Poitiers ; trop souvent vétustes, faute d'entretien durant les mandats de son parrain politique ! Décidément, l'ironie de l'histoire n'épargne personne... Même le justicier Lucky-Luke et son fidèle Rantanplan, n'auraient pas en la circonstance pu réchapper de cette ombre sportive.
19h15, le conseiller vert Robert Rochaud, les nerfs à vifs, « [j'apporte] un soutien total aux 800 associations de Poitiers. Certains ont fait des amalgames avec les évènements du 10 octobre ! [...] Les bénévoles ont un grand rôle dans le bien vivre et la paix civile... »
Poitiers : le président de la CAP songeant aux transparences de l'histoire de sa capitale.
© kritix.com
Puis vint le temps de la démocratie participative ; comme si quelqu'un avait fait effraction dans une maison à l'apparente tranquillité. L'un des lieutenants de Ségolène Royal, identité jamais déclinée en mairie de Poitiers, intervint en temps que simple conseiller municipal, mais aussi en temps que président de Logiparc ; sans donc prétendre être un vice président de région. Enfin tout le monde l'aura compris, il y a du cumul là où il ne devrait pas y en avoir. Le très discret Jean François Macaire, d'un ton à l'innocence bien construite, s'exprima sur les HLM : zones blanches, habitat social, ADSL par réseau porteur en ligne avec offre d'abonnement de 7€ mensuels pour un ménage et téléphonie illimitée sur les Couronneries. Il présenta une association qui permet aux locataires de s'équiper d'un ordinateur recyclé pour la « modique somme » de 270 euros, dont 100 euros financés par la solidarité publique. Il ne resterait in fine que 170 euros à la charge du locataire. Il est à préciser qu'un ordinateur portable neuf se vend aujourd'hui à moins de 400 euros (moins de 300 euros pour un netbook) : on peut s'interroger alors sur la pertinence financière d'un tel système, pour des technologies au vieillissement ultra-rapide... Le président de Logiparc, Jean François Macaire, « On parle de 2543 logements. Il faut aller plus loin dans l'accompagnement de toutes les populations. C'est un accompagnement de 3 ans avec le FEDER et la région. »
Daniel Duperron, républicain farouche, conseiller municipal aux droits de l'Homme, à la citoyenneté et aux associations, présenta le budget participatif dans les quartiers de Poitiers, tels que ceux de Beaulieu et des Trois Quartiers. Le système de budget participatif existe depuis 7 ans à Logiparc. « Il fonctionne bien, année après année. Il pacifie grandement les relations bailleurs-locataires. Cela va plus loin dans l'approche de la démocratie de proximité. Ce n'est pas antinomique avec la démocratie représentative. » Le maire de Poitiers baissa les yeux : un fabiusien a du mal à partager le bon sens de la maison de la rue de l'Ancienne Comédie...
Buste de Marianne dans la salle des Échevins de la mairie de Poitiers.
© kritix.com
L'opposant UMP Stéphane Braconnier fit mine d'ignorer le clientélisme politique, mais eut beaucoup de mal à ne pas trébucher, « J'exprime toute ma réserve sur cette délibération de Logiparc. Dans le cadre d'une politique de quartier, rien ne justifie [le système de budget participatif]. Je ne veux pas accentuer l'usine à gaz de commissions extra-municipales. » Il se pose en effet le problème du contrôle des élus sur l'argent publique...
Les oreilles du premier édile sifflèrent. Comment cette « fielleuse » algarade modératrice pourrait-t-elle émietter un pouvoir ultra centralisé entre les mains d'un seul ? Alain Claeys se figea, ne commenta pas.
Hôtel de Ville de Poitiers, septembre 2009.
© kritix.com
Et là, nous avons eu droit au cynisme dans toute sa splendeur. Le maire de Poitiers regarda de haut son Conseil à la contrariété policée, et dans un sourire, « Je me félicite du consensus large ! » Ah, la belle idée que de partager le pouvoir, pour que la démocratie puisse s'exprimer pleinement. Le jacobinisme poitevin a peut-être trop duré ? Le maire se décida enfin à jouer l'apaisement, « Il faut oser, je n'exclus rien ! Sur le sport, […] on a aboutit à un bon travail. Avec les parents d'élèves, on a eu une bonne concertation : c'est du temps gagné sur l'action. [...] Sur les budgets participatifs, c'est plus difficile. Monsieur Huille, je vous mets en garde pour ce qui concerne le transport et la question du référendum. Si [l'ancien maire] monsieur Vertadier [Il prit soin de ne pas citer Jacques Santrot pour séduire le centriste, NDR] avait demandé pour la piétonisation, alors cela aurait été un échec. Parfois, on assume, on explique et le suffrage universel direct tranche. Il faut les deux ! » Le maire oublia de préciser qu'il faut des engagements de campagne précis et que sur la question de la LGV Poitiers-Limoges, cela ne semble pas avoir été le cas ! Tout fut fait, au nom de principes dévoyés ; les collectivités locales assumant la compétence de l'État : le président député-maire cherchant toujours à fuir les réunions publiques sur la LGV Poitiers-Limoges... [Suite et fin du conseil : Poitiers-sécurité : « Logiparc-SIPEA » a la hache, elle aime] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2014-...) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2014-...) [externe] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2008-2014) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2008-2014) [pdf] |
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