Libéral ultra combat des lys

La majorité abstentionniste de Poitiers reçoit en juin 2015 les charcutiers de Solférino et son Bauvau d'or. C'est en grand appareil que le loyal strauss-khanien souffle « les brises marines », un temps au secours d'une emblématique chute de Rhin des alignés béats, faquins de la doxa transatlantique. Et c'est dans une onde de Folie que le beau linge d'une faute morale prendrait des Clain pour un seul et unique Congrès que celui du gros dos de Notre-Dame.

Jacqueline Daigre, critique des châtiments

A chacun de ses pas raffariniens, impérieux appuis sinophiles, de safran parée l'opposante n'ira pas au baron. Poitiers se paupérise, perd ses habitants, se confond en dépense des urgences, perfide illusion de l'impasse. Quand Poitiers se vide, son agglomération repousse les forces vives toujours plus au-delà de son bailli. C'est que l'amer président-député-maire invoque la solidarité quand ses pourvoyeurs ont pris fait et cause pour l'exil pastoral. Poitiers-catafalque, baronnie de parade des trois jours, pourra tout à la fois se mirer et quémander la bonne fortune incantatoire auprès de charitables donateurs de bien-pensance sectaire.

Au chapitre des sincérités inversées, Poitiers voit son cœur arrêté, puis enserré, pétrifié dans le déni de perspectives. En cavalcade, les couleuvres susurrent la décision prise : cet aval de déresponsabilisation tant assumé. Et d'invoquer ledit pragmatisme pour conjurer ladite complexité que les jargonneries extirpent des volontés populaires pour parfaire le champ endogame. Guerre des Deux-Roses éveillée en région promise ; Aristocrates, nous voilà !

Sapin le transatlantique, on voit ta cime ! Bartolone l'ingénu institutionnel déciderait du vote quand l'aligné Cazeneuve userait le populaire et consommateur-exécuteur d'en bas. Rien ne va plus. Eh bien, mortifiés, ils usurpent ! Le compte à rebours, c'est maintenant. Le Bourget, on leur rend ! Et comme pour paraphraser un mangeur de pomme en campagnes maintenant désertiques : « la maison brûle, ils regardent ailleurs... ». Gouverner procède de l'exercice quand légitimité populaire décide.

Christiane Fraysse, chasseresse

D950 en allant vers Chenay (79120)

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Quérir un air pur, verser aux dimensions humaines, boire une eau pure ne fera l'économie d'aucun chantage sur la biodiversité ni sur le Vivant. A Poitiers comme ailleurs, les assauts contre le « mieux vivre » font parmi les décideurs de paille, florès. L'appât d'une croissance promise pour quelques-uns vide toujours plus les souverainetés locales. Dénoncer ces abandons est déjà en soi un chant des cerises d'une SDN réussie.
      
       Si la malédiction LGV nourrit les exotiques et mouvantes fragmentations esclavagistes d'une place désarmée quand t'as ri, elle charme les faiblesses qu'un potentat ne saurait soustraire d'un Miroir à la piètre surface politique. Comble de la réflexion, mise en abîme d'un Lion ascendant narcisse qui se croyait tigre ; à sa guise, il est ce tour déjà fameux d'une humilité fière sur sa monture.

Cueillir les lys à dessein sur le métier, y remettre sans cesse l'ouvrage, convient à cette liberté commune par-devers celle des puissants contre tous.