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Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 5)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 4)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 3)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 2)
Mot Claeys, clé de la duplicité poitevine (acte 1)
Conseil CAP : Philippe Brottier, dignité fontenoise (acte 3)
Conseil CAP : Philippe Brottier, dignité fontenoise (acte 2)
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13ème Chronique
Conseil CAP : Philippe Brottier, dignité fontenoise (acte 2)
Kritix, le Wednesday 8 April 2009 -
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Ce 27 mars 2009, Alain Claeys chercha à ménager l'État sur les intérêts budgétaires de Poitiers. Il invoqua la solidarité communautaire pour ce qui relève des pertes sur les dotations de solidarité communautaire. « Les plus forts écrasent les plus faibles », Jean Charles Boulanger, maire de Croutelle et vice président de la CAP.
Colère de Philippe Brottier, maire de Fontaine le Comte lors du conseil de la CAP du 27 mars 2009.
© Kritix.com
Alain Claeys, « On perd de l'impôt, mais il y aura la création d'une commission ad hoc afin de parvenir à des propositions adoptées à l'unanimité... Je te remercie pour ta responsabilité, je te comprends et je prends l'engagement de compenser la perte. Je comprends ton cri du coeur... » Le président cherche à ce que la réalité des débats ne se fassent plus en séance publique ! Notons que l'unanimité est la démonstration d'un consensus permanent, ainsi les querelles se font à l'abri des médias en commission à huis clos, on lave le linge sale en famille, on fait des tractations, on négocie comme disent les cyniques... Quant au cri du cœur, il est curieux d'associer sentiments et argent, le matérialisme ne devrait pas être de toutes les parties... La dotation globale de solidarité n'augmente plus, elle restera bloquée, constante, Alain Claeys trouvera que « c'est une bonne chose ! » (cela ne baissera pas davantage). Les recettes de la DGF (dotation globale de fonctionnement) de l'État s'élèvent à 41 millions d'euros. Ce qui paraît être une prouesse en ces temps de disette. L'élu local a pour lui la durée du mandat : les fruits de sa politique, politique de prestige quand elle est rondement menée. De telles menées sont monnaies courantes tant que l'on recherche la gloire ; Poitiers ne pourra en tirer que le plus grand profit. Alors chantons les louanges de celui qui réforme Poitiers pour mieux marquer de son empreinte l'histoire millénaire de sa cité. Voyez la façon : ne vous embarrassez pas trop de la parole donnée à ses partisans... Disons que la politique menée est politique de circonstances selon que le pouvoir louvoie dans telle ou telle direction... Disons que les poitevins pourront mesurer la dimension des personnalités aux résultats, à leurs bilans et toujours lutter contre l'imposture... Humblement l'avocat Philippe Brottier reconnut la bonne volonté du préfet Bernard Tomasini malgré les principes de réalité. A l'issue de la révolte fontenoise que le président Alain Claeys eut voulu évité en séance plénière, c'est avec marques policées que celui-ci remercia et salua les entreprises fontenoises sur le départ. La séance revint à ses fondamentaux, une normalité appréciée par la plupart des élus. Le conseiller robert Rochaud évoqua en substance la délicate question des recettes communautaires, « la DGF perd en 2009 son indexation sur l'inflation constatée en 2008. Les pertes ne sont pas compensées ! 746 000 euros de recettes en moins à cause de la politique du gouvernement ! Ce qui équivaut à un peu plus de 10 % du budget principal. Ce qui ne permet pas d'entretenir le patrimoine communautaire, essentiellement sportif. Il faut revoir l'encours de la dette. » Le président Alain Claeys appuya ces regrets, « il faudra réfléchir à la stratégie à mener sur les équipements sportifs ». Le conseiller Aurélien Tricot précisa, « On a moins de 200 000 euros, ce qu'il faut pour une maison !... » Le Conseil s'offusqua de cette malheureuse illustration... Le président Alain Claeys fit sienne la maladresse et reprenant la main, « aucun équipement sportif est dangereux sur la CAP, sinon il serait fermé ». L'opposant UMP Stéphane Braconnier n'en rajouta pas sur le malentendu et porta son adresse à l'endroit du fond du débat, « J'ose exprimer toute ma satisfaction sur le budget général : on évite la fiscalisation de France Telecom... N'en déplaise à Robert Rochaud, la DGF n'est pas un argument ! [...] Comme Robert Rochaud, j'approuve cette volonté d'aller plus loin sur les investissements ».
Buste de Marianne dans la salle des Échevins de la mairie de Poitiers.
© kritix.com
Le président Alain Claeys à l'ironie aux entournures honnêtes, monsieur consensus se fit entendre, « on va se mettre d'accord. A minima, le désengagement de l'État est de 8 millions d'euros. Il ne peut y avoir une gestion rigoureuse des personnels en ne remplaçant pas un fonctionnaire sur deux partant à la retraite », ce qui est la politique du gouvernement Fillon. Le conseiller Robert Rochaud poursuivit, « l'attractivité de la CAP a permis de compenser la baisse des recettes de la taxe professionnelle. Faire des pressions [en haut lieu] pour faire appliquer la loi est inquiétant. [le président Alain Claeys acquiesça d'un hochement de tête] La suppression de la taxe professionnelle... suppression peu claire dans la tête de celui qui pense cette réforme [le président de la république française Nicolas Sarkozy] » ; Le président de la CAP approuva le constat. Le conseiller Modem Philippe Mahou indiqua, « j'approuve le budget général dans ce contexte ». Ce à quoi le président de CAP répondit par voix sibyllines, « le budget sera très difficile... on aura des surprises par rapport aux dotations... ce sera un travail de tous les instants... [Puis rompant prestement]... Je mets aux voix... Adopté à l'unanimité ! ». Le conseil de CAP se tourna vers un budget d'investissement de l'Eau à l'équilibre. Le conseiller Jean Daniel Blusseau commença, « Bellejouanne répond de la recherche sur la qualité de l'eau et de la suppression des branchements en plomb » Le président de la CAP signifia, « le budget de l'eau est peu connu de nos concitoyens : il y aura une petite plaquette »... Et soudainement, la séance prit un tour surréaliste et burlesque. Le conseiller Gérard Sol, maire de Mignaloux Beauvoir, entonna, « A 7h, quand je prenais le petit déjeuner... » Alain Claeys hilare, « tu t'es recouché après ? » (l'élu entrant progressivement dans une retraite bien méritée... Le conseil jubila...) Imperturbable, Gérard Sol termina par, « Les eaux épurées sont plus propres que celles du Clain lui-même ! » Le président de la CAP, « je remercie le travail des vices-présidents... Chaque matin, il y a des choses insupportables relatives à l'argent pour nos concitoyens », faisant référence aux stocks-options de Natixis. Nul ne fut dupe de ces ignominieuses pratiques : Natixis dégraisse sur l'Économie réelle et engraisse la finance qui elle est déficitaire. Pratiques détestables, pourtant si communes aux yeux de professionnels avertis.
Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2014-...) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2014-...) [externe] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2008-2014) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2008-2014) [pdf] |
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