En 2015, François Hollande c'est 900 euros de dette publique supplémentaire par français !
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31ème Chronique

Claude Thibault et le CAP de la verte fronde

Kritix, le Sunday 12 July 2009 - 5280 consultations - Commenter la chronique

17h40, on suffoque, on blêmit... 17h50, les élus arrivèrent en nombre ; la députée européenne et conseillère de CAP Bernadette Vergnaud était déjà là depuis dix bonnes minutes... 17h55, nonchalant, le président arriva... Il se disait dans les travées que le préfet de région Bernard Tomasini aurait eu des postures hautaines à l'encontre des collectivités locales. Décidément, le président Sarkozy ne veut pas laisser Poitou-Charentes à l'hégémonie socialiste, c'est de l'acharnement... (voir le discours du préfet lors du Conseil régional du 6 juillet dernier)

Le président de la CAP et maire de Poitiers Alain Claeys (à gauche), en fin de séance du conseil communautaire du 2 juillet 2009.
© kritix.com

Après salutations et palabres d'usages en prélude à cette séance publique du 2 juillet 2009, le Conseil de la Communauté d'Agglomération de Poitiers entra en matière. Le président Alain Claeys, détendu, « Il fait très chaud. Vous allez être très concis, efficace ! » Puis à destination des journalistes « Leurs difficultés avec ce que vit la presse régionale, [...] c'est une question démocratique à traiter dans les mois qui viennent. La chute des petites annonces et des ventes [...]. Je ne veux pas faire de comparaisons avec internet ! [...] Au delà de ce que vous allez subir, notre solidarité vous est acquise ! […] Des concentrations sont inéluctables. […] Tous les élus sont très attachés à la pluralité [de la presse] »

Alain Claeys arborera une certaine condescendance à l'endroit de l'internet, question de génération sûrement... Le président de la CAP ne croit aucunement en la crédibilité de ce modèle économique. Comme si internet ne rapportait pas d'argent ! Les monopoles traditionnels de la presse ont disparu. Les professionnels devront s'adapter ou disparaître, c'est dans l'ordre des choses. Il n'est qu'à remarquer la navrante mise sous perfusion de la presse écrite par l'État, qui pose la question de l'indépendance éditoriale, surtout quand ces médias sont concentrés entre les mains de quelques puissants groupes privés liés au pouvoir élyséen... Alain Claeys ne veut pas voir toutes les mutations sociales de notre temps. C'est regrettable que de se laisser aller au naufrage... Le président conclut, solennel, sur la pluralité de la presse écrite locale, « Les élus de la CAP sont unanimes sur la question. »
      
       Alain Claeys entra dans le vif des délibérations, « Ça y est : vous respirez un grand coup... La 1 ! Serge Rouquette est accueilli à l'unanimité ! »

Alain Claeys intervint : « La fondation [Poitiers-Université] de la CAP, soit 100 000 € sur 3 ans, c'est très important pour traduire notre volonté à soutenir, à mener une politique de services publiques de l'enseignement supérieur. »
       Le conseiller communiste Patrick Coronas, très attaché à l'égalité républicaine, incisif, « Il est dommage qu'on n'ait pas les statuts ! Selon la presse, les bourses seraient accordées au mérite. [...] Sur quels critères ? Quelle sera la composition de la commission [de cette fondation] ? Quel sera le lieu pour siéger ? Quel sera le conseil scientifique, pédagogique ? Si je n'ai pas de réponses, je vote contre ! »
       Alain Claeys, mal à l'aise, l'indocilité du conseiller de la majorité mettait une fois de plus à mal le crédo de la transparence claeysienne, que d'autres aussi sur Poitiers usent et abusent, « Tu auras des réponses ! »
       El Mustapha Belgsir , (rapporteur de la commission développement économique et emploi-insertion), bon exécutant, « Ce statut sera statué lundi prochain, conformément au statut générique des Universités. [...] Un comité de gestion sera constitué. [...] Toutes les décisions seront soumises en conseil d'administration sur proposition du comité de gestion. [...] La fondation sera là pour ce qui est de la formation professionnelle [et] pour les étudiants qui n'ont pas Erasmus. [...] Autre exemple : en ce qui concerne les entreprises et les mécénats, la fondation peut aider à lancer des projets innovants comme ceux de l'énergie éolienne. »

Tour à l'Oiseau (vestige des remparts médiévaux) du parc de Blossac à Poitiers en juin 2009.
© kritix.com

Alain Claeys, péremptoire, « Poitiers financera pour moitié cette fondation : c'est un signe d'importance pour participer ! »
       Yves Jean, la voix posée, « Les collectivités territoriales devraient jouer un rôle pour des projets pluridisciplinaires. […] On en discutera avec Mustapha sur la question du financement de la mobilité internationale des étudiants qui ne devrait pas relever des compétences de la fondation. [...] Regardons ce qui se fait chez les anglo-saxons ! »
       L'opposant UMP Stéphane Braconnier exulta devant cette délibération conforme à ses doctrines, « C'est un succès, si c'est pour attirer des PME et des PMA dans le budget de la fondation. C'est une chance ! »
       Alain Claeys, paternaliste, « Je connais bien cette Université : après ça, vous pouvez voter les yeux fermés ! [...] Je voudrai que la CAP ait une position centrale dans cette fondation. » Un conseiller s'interrogea sur le rapport... Ce à quoi le président répliqua, « Je n'avais pas toutes les garanties pour que la CAP soit membre fondateur : d'où ce rapport. » C'est pourquoi la délibération avait été retirée lors du Conseil du 18 juin dernier. La délibération fut adoptée malgré les réserves des abstentionnistes... Alain Claeys, cynique, manipulant l'impact du système majoritaire qui annihile de facto les oppositions les plus saines, « Il en reste encore [des votes positifs] ! »

18h15, le président sortit promptement de la salle, sans signalement ni justification... Il y eut un flottement... Au grand étonnement d'un adjoint, le président réconforta un journaliste. Certains s'en étonnèrent... 18h18, Alain Claeys revint présider.

Jean-Daniel Blusseau s'exprima sur le projet d'accueil des adultes polyhandicapés... Alain Claeys, le cœur sur la main, « Prendre les polytraumatisés en charge est extraordinaire. [Pour] ces places, j'imagine pas que le Conseil général ne veuille pas mettre les 40% [de financement] ! C'est un devoir de solidarité que de voter cette délibération sur la garantie d'emprunt. [...] Je suis convaincu que les autres suivront ! Adopté à l'unanimité ! »

On parla aménagement du territoire, avec notamment le conseiller et maire de Buxerolles Jean-Marie Paratte (président de la commission transports, politique de déplacements et voirie), dans un parler convenu, « Il s'agit de reconnaître le développement durable. La CAP s'est développée à l'Ouest et à l'Est du Clain. L'hémisphère Est est d'une grande perméabilité. L'Ouest est ce lien difficile avec le centre et la porte de Paris : c'est mal irrigué. [...] Les embouteillages, la pollution en sont le corollaire. Il faut être lucide, la CAP est hémiplégique ! La solution pertinente passe par le viaduc des Rocs. C'est un préalable, une urgence pour les forces vives de la CAP. La passerelle des rocs permettait d'accéder mieux au centre-ville ; [elle permettrait de] franchir l'obstacle naturel. Il fallait s'en occuper car passer à pied ou à vélo était long. »

Le conseiller Jean-Jacques Guérin, « Les déplacements sont devenus un problème majeur ! L'obstacle naturel, ce goulet d'étranglement de pont-achard, c'est un problème majeur pour les habitants et les salariés. Avant, ce problème concernait exclusivement Poitiers. Aujourd'hui, c'est aussi l'affaire de la CAP que de construire un viaduc pour les bus et les autres transports en communs. Cette structure va marquer la CAP ! »
       Stéphane braconnier, les yeux écarquillés, « Nous sommes dans un état de grâce ! [Je constate] la capacité à considérer un nouveau monde via des transports urbains : [...] jamais nous n'aurions pu imaginer que les lignes [politiques] bougent autant ! Ce projet est très ambitieux ! Les meilleurs ingénieurs devront être mobilisés. [...] Il devra resserrer les liens dans la CAP : le viaduc devra améliorer, diversifier l'accessibilité au centre. [...] Je me réjouis que le mot tramway n'est plus un tabou ! C'est le choix d'une voie pour les piétons et les autres : la poutre maîtresse d'une CAP plus fluide et plus verte ! »

Parc de Blossac à Poitiers et son boulevard en surplomb de la vallée du clain. Juin 2009.
© kritix.com

La conseillère Claude Thibault (élue verts), s'insurgea, se rebella sur l'une des délibérations qui suivirent, « Depuis 20 ans, les élus alertent sur l'eau, les pollutions ! La CAP est obligée d'investir dans une dépollution coûteuse pour une efficacité imparfaite. Partout, l'écologie est présente ! Avec Kyoto, les engagements ne seront pas tenus ! La CAP, avec les mêmes ressources, aurait pu acquérir 10 hectares pour la protection de l'eau [ndr : la protection des nappes phréatiques]. Il n'est pas trop tard pour changer de cap [ndr : ou de CAP ?] ! Nous aimerions pouvoir surseoir à cette délibération ! »
       Christiane Fraysse, conciliante et compréhensive, dans un bel aveu d'impuissance, « Il faut de gros moyens pour un faible niveau de services : il faut refonder ! Prenons les décisions adéquates sans obérer l'avenir ! »

Alain Claeys, agacé, bottant en touche, justifia certains de ses errements, « J'ai découvert qu'être président c'est gérer le mieux possible et saisir les opportunités ! Sur mon bureau, j'avais trouvé 1 million d'euros ! Les caisses sont vides me disait mon prédécesseur [ndr : son ami Jacques Santrot] [...] [En conséquence de quoi] nous avons fait des études, tenus un dialogue inter-maire, choisit un développement durable et menés des travaux pratiques ! Quant à la taxe professionnelle, c'est une question d'opportunité, d'investissement dans les transports propres : on passait d'une logique ville à la CAP. Ils [les élus] ont eu l'intelligence de dire "Banco" ! On a saisit cette opportunité. Je connais tous les problèmes de santé publiques : ce qui a toujours été une priorité de mon travail parlementaire ; même si je dois me substituer à l'État sur un certain nombre de choses ! Pour ce qui concerne le tramway, on est incapable de financer 10 millions d'euros du km. [Mais] je serai stupide de ne pas tenir compte des progrès ! [ndr : Alain Claeys devenu mélancolique] La vie publique c'est des concours de circonstances. [...] La vie judiciaire [ndr : voir la chronique Entre Rachida Dati et Alain Claeys, un lapin rose se pose (acte 1)], on la saisie au bon moment ! Ce que sera le développement, la croissance verte : c'est un signe pour l'avenir ! On ne va pas se glorifier ! »

Désapprobateur, le conseiller Robert Rochaud voulut intervenir, offusqué par le sentimentalisme du président Alain Claeys... Le président, pressentant la rébellion verte, lui fit savoir sèchement, « En principe, le président est celui qui finalise le débat. [...] Essaie de ne pas lire ton texte ! »
       La tension mit le Conseil dans le plus grand embarras... Le conseiller vert Robert Rochaud ne perdit pas de sa superbe et lança fièrement, avec l'insolence de la libre parole, la voix haute et claire, celle précédant l'assaut, « Je vais lire et te répondre ! »

[prochainement, la suite du Conseil...]


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