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38ème Chronique

Ségolène Royal et l'avenir d'Heuliez : une question d'honneur

Kritix, le Wednesday 24 March 2010 - 5500 consultations - Commenter la chronique

Citoyens, vous allez voir comment la Sarkozie sabre l'emploi en France. Et comment le nouveau ministre de l'industrie Christian Estrosi tente de faire amende honorable, après les graves fautes du gouvernement Fillon : le scandale sarkozyste de New-Fabris. Le Front national, lors de la séance publique du 22 février 2010 de la région Poitou-Charentes (voir la chronique précédente), en voulant s'en prendre à la politique de ségolène Royal, permit une juste explication, sans ambages et passionnée...


Ségolène Royal : «Heuliez sera souvé envers et contre tout »
envoyé par kritixTV.
La présidente-candidate Ségolène Royal montre sa détermination pour que Heuliez ne soit jamais un nouveau scandale New-Fabris. Extrait de la séance publique du conseil régional Poitou-Charentes du 22 février 2010.

Le conseiller frontiste Jean-Romée Charbonneau se lança :
       « Oui madame la présidente, vous aviez dit tout à l'heure, que vous ne vouliez pas qu'on discute sur le sujet, que c'était un peu flou, etc... L'ancien vice-président [Jean-François Fountaine, en disgrâce. NDLR] qui a disparu depuis quelques semaines... depuis quelques mois, et qui est revenu aujourd'hui pour nous dire que l'on traverse une période... qu'il a connu ça, une période électorale... Moi, ce que j'observe dans cette affaire-là, c'est que nous sommes à un mois des élections, que ce dossier n'est pas ficelé, que vous n'avez pas répondu à la question de monsieur de Richemont tout à l'heure, qui disait si les 4 millions viennent en plus des 5 millions...
       J'observe un autre argument très électoral, ou électoraliste, d'un président de région, monsieur Rousset de la région voisine
[Région Aquitaine, NDLR], dont vous nous dites qu'il ne représente que 30% du bassin d'emploi mais qui ne s'est jamais mis sur les rangs d'Heuliez et qui curieusement, un mois avant les élections, apporte non pas 5 mais veut apporter 7 millions d'euros...
       Qui parle de véhicules électriques ici, alors que aujourd'hui, dans la presse, on apprends ce que j'ai toujours dis moi-même d'ailleurs dans cette assemblée : que monsieur Bolloré
[Intime du président de la République Nicolas Sarkozy, qui l'invite sur son yacht. NDLR] se porte concurrent dans la fabrication des véhicules électriques ; donc il n'y aura pas que Heuliez éventuellement... Et enfin, ce plan, vous dites... vous ne direz pas... Imaginez que je sois à votre place et vous seriez à la mienne... »

« Oh NOOOOOON ! » Face à la provocation du conseiller, la majorité s'indigna vivement. Et ce furent des cris d'exaspérations qui noyèrent dans le néant la provocation décidément irrévérencieuse... La présidente se mit à sourire de la bataille rangée, si loin des français : banales vétilles politiciennes...

Le conseiller Jean-Romée CHARBONNEAU (Front-National) lors du Conseil régional Poitou-Charentes du 22 février 2010.
© kritix.com

Le conseiller Jean-Louis Charbonneau continua malgré tout :
       « Plus jamais ça ! Plus jamais ça, madame, le coup de nous faire... Ce truc de nous faire : "je sais qui investira mais je n'ai pas le droit de vous le dire ; je ne veux pas vous dire." À 15 jours, à 3 semaines, à 1 mois des élections alors qu'il y a des salariés de l'entreprise dont certains sont sur votre liste... C'est un montage scandaleux !
       Et pour ceux qu'on pas lu le journal : quelle partie de rigolade de voir monsieur Krief venir vous expliquer qu'il a 15 millions en euros qui va venir nous apporter en billets de banque ! C'est quand même une sacrée partie de rigolade tout ça !
       Alors ce dossier, il n'est pas crédible, ni pour les électeurs ni pour les collectivités ! Il faut arrêter de nous mentir dans cette affaire-là, parce que en admettant que vous preniez des décisions aujourd'hui, qui nous dit qu'elles seront encore valables après, au lendemain des élections ? Ou lors dans le prochain mandat, ou qui que ce soit qui sera président de cette région ? Il n'y a aucun engagement qui tient aujourd'hui ! »

La présidente répondit :
       « Je vais passer la parole à Jean-François Macaire... C'est facile de vociférer ou de faire semblant de protester quand on a rien fait pour sauver ce dossier et qu'il y a aujourd'hui 600 salariés qui sont là, en attente de voir enfin l'entreprise sécurisée. [Entreprise] qui a produit le véhicule électrique qui est le produit du futur par rapport à la lutte contre le réchauffement climatique. [Entreprise] qui a des carnets de commandes pleins et que la voiture va-être prochainement exposée, là en mars, au Mondial de l'automobile !
       C'est pas parce que on a eu un gouvernement totalement inerte dans le domaine de la politique industrielle au regard du véhicule électrique, que nous allons baisser les bras... La région, elle s'est battue, elle continuera à se battre pour sauver Heuliez et pour sauver la voiture électrique d'Heuliez ! Sans la région, il n'y aurait même pas eu d'appel à projets sur la voiture électrique et l'entreprise aurait déjà disparue ! Comme a disparu New-Fabris : c'est un scandale ! Parce que quand on a renfloué Renault de 4 milliards d'euros sans aucune garantie pour les sous-traitants, c'est un véritable scandale ! Quand on a la capacité, comme l'est la France avec des filières industrielles de qualité sur l'automobile... Les savoir-faire que nous avons et que le ministère est incapable de mettre les opérateurs automobiles ensemble, pour pouvoir mettre sur le marché les différents produits du véhicule électrique, c'est un scandale !
       Et bien la région, elle se bat avec ses moyens et elle se battra avec succès ! Et en effet, nous avons des contacts aujourd'hui pour élargir le pacte des actionnaires, qui sont des contacts de qualité, qui sont des contacts sérieux, qui sont des contacts durables et je vous dis ici : Heuliez sera sauvée envers contre tout ! Et heureusement que le nouveau ministre de l'industrie a commencé à comprendre, en effet, qu'il y avait là des perspectives industrielles qui tenaient la route et qui étaient sérieuses !
 »

La présidente Ségolène Royal lors du Conseil régional Poitou-Charentes du 22 février 2010.
© kritix.com

« Quant à la personne que vous évoquiez, monsieur Potier, je ne le connais pas ; ce n'est pas moi qui l'ai choisi, c'est le tribunal de commerce ! Et pourquoi le tribunal l'a choisi ? Parce que l'investisseur précédent n'a pas été soutenu par le ministère de l'Industrie ! Le fond d'investissement stratégique, demandez à Jean Grellier qui a remué ciel et terre, a mis 8 mois pour répondre ! Et que cet investisseur qui n'a pas reçu de réponse du ministère de l'industrie, s'est dit : mais l'entreprise ne doit pas être sérieuse, si le ministère de l'industrie ne vient pas !
       Donc il y a eu déjà des premières solutions qui ont été... qui ont été sabotées ! Lse mot est là... Par rapport à des opérateurs qui n'y ont pas cru ou qui n'ont pas voulu y croire ! Parce qu'il y avait des concurrences, il y avait des contentieux entre eux... Bref, je n'y reviens pas. Ensuite monsieur Petier s'est présenté, c'était le seul repreneur ! Le tribunal a laissé sa chance ; aujourd'hui on voit qu'effectivement, il y a un certain nombre d'interrogations ! Ne comptez pas sur moi pour faire porter la charge ou pour dire du mal d'une personne qui était là, qui a fait la reprise à un moment donné, qui n'était peut-être pas sérieux, qui avait peut-être d'autres difficultés qu'il n'avait pas anticipé à ce moment-là. Monsieur Potier, il n'est pas de mon bord politique, il est conseiller général UMP du département de l'Eure... Et bizarrement, je suis la seule qui n'en dise pas du mal ! C'est quand même extravagant ! »

Le conseiller Jacques Santrot, ancien député-maire de Poitiers, s'écrira :
       « Et moi ! J'ai fait 2 dossiers économiques à Poitiers avec lui quand j'étais maire. Tout s'est réglé au centime d'euros près comme ça avait été prévu ! [...] Dans les communes, on a pas l'habitude de [payer] en liquide. Parce que, si dans les communes un maire s'amuse à manier du liquide, ça devient plutôt délicat !
       — J'imagine que pour les région, on peut !
répliqua le conseiller Charbonneau.
       — Ce n'est pas à la région qu'ils donnent de l'agent liquide... »
rétorqua l'ancien maire.

La présidente Ségolène Royal lors du Conseil régional Poitou-Charentes du 22 février 2010.
© kritix.com

La présidente Ségolène Royal intervint :
       « Pour terminer sur cette affaire : le dénouement positif de l'élargissement du pacte d'actionnaires... Nous allons faire le point sur les différents opérateurs industriels ou investisseurs qui veulent venir. Nous allons mettre ces opérateurs autour de la table. Si monsieur Petier est dans le tour de table des nouveaux actionnaires, il y sera. Si il n'est pas dans le pacte des nouveaux actionnaires, il n'y sera pas. Mais cessons de focaliser sur cette question-là et activons nous pour que justement, positivons autour de cette entreprise qui est une très belle affaire, pour que les opérateurs et les actionnaires qui vont venir autour de la table aux côtés de la région Poitou-Charentes, puissent rapidement redonner sérénité à cette entreprise ; qui je l'espère, va mettre rapidement ses fabrications sur le marché.
       Monsieur Macaire... »

Le vice-président Jean-François Macaire prit la parole :
       « Merci madame la présidente : moi, je voulais juste faire deux remarques. Entre juillet 2009, quand le tribunal de commerce a statué sur l'unique repreneur qui était Bernard Krief à l'époque, et maintenant, la situation a changé ! [...] Ce qui a changé c'est le marché ! Le marché du véhicule électrique est en train d'émerger. Et c'est ce qui fait que nous sommes aujourd'hui en meilleure situation... Alors pourquoi ce marché émerge ? Ce n'est pas uniquement parce que la région Poitou-Charentes s'y est appliquée — je crois que l'appel à projet lancé par la présidente était très précurseur —, c'est que l'Union Européenne, je ne sais pas si vous suivez un peu ce que dit l'Union Européenne mais c'est important parce qu'elle encore un peu d'influences... L'Union Européenne nous a indiqué qu'elle souhaitait qu'à l'horizon 2020, 10% de la mobilité soit faite avec la traction électrique. [...] »

Peu après, la présidente Ségolène Royal présenta un soutien aux ostréiculteurs :
       « Je vous propose de lancer dés maintenant une action régionale d'envergure de soutien aux ostréiculteurs, en complément des programmes nationaux. La section régionale de la conchyliculture propose un plan de sauvegarde et de relance ostréicole qui s'articule autour de huit mesures. »

La présidente Ségolène Royal lors du Conseil régional Poitou-Charentes du 22 février 2010.
© kritix.com

Puis les délibérations s'enchainèrent au son de la voix de la présidente :
       « Nous passons au soutien au développement de l'apprentissage, avec la simplification des aides aux employeurs d'apprentis et des subventions au centre de formation des apprentis. Cette simplification sera applicable dès le 1er juin 2010. [...] Nous avons créé 2500 places en apprentissage. Donc il est absolument essentiel d'encourager les maîtres d'apprentissage. Nous envisageons d'ailleurs, je vous le signale, de conditionner à l'avenir les aides économiques aux entreprises par l'obligation de prendre des apprentis ; parce que nous avons du mal à trouver des maîtres d'apprentissages pour la totalité des jeunes qui veulent s'engager dans cette forme de formation.
       Je vous propose également des subventions annelles aux CFA et aux sections d'apprentissages [...]. Vous voyez, ce sont des sommes très importantes ! Quand j'entends dire que la région ne fait rien pour l'apprentissage : ce sont des propos de campagne électorale à déplorer ! Mais vous voyez que ce que coûte le fonctionnement des centres de formation des apprentis à la région Poitou-Charentes pour l'année 2010 : c'est 39 millions d'euros.
       Enfin, vous avez dans ce rapport une série de subventions d'équipements en faveur des différents centres de formations des apprentis.
       Est-ce qu'il y a des observations ? Peut-être Daniel Opic... »
taquina la présidente, tout sourire.

Le conseiller Daniel Opic ne s'y retrouvant plus :
       « Juste un petit mot, madame la présidente. Vous l'avez fort bien dit... Nous sommes la région, une des régions de France... savez-vous qu'on calcule les fonds d'une région pour savoir le nombre d'apprentis par salarié, pour cent salarié... Et nous sommes dans les trois premières régions de France pour ce nombre d'apprentis dans la région. Nous avons fait des efforts considérables ; je crois qu'on a réussi à gérer la crise... Quelques chiffres : en 2009, nous avons versé 15812 aides pour une somme de 19 500 000 euros. Et c'est extrêmement important ! Tout à l'heure pour le fonctionnement, vous avez évoqué 39 millions... C'est un poste essentiel pour cette région.
       Monsieur Garcia qui est parti, disait tout à l'heure, que la gauche n'avait pas la culture d'apprentissage... La gauche a la culture des valeurs républicaines : à savoir la formation des jeunes qui sont confiés à la région ; et considère que l'apprentissage, comme la formation initiale dans les lycées professionnels, ou technique, ou à l'université, ou dans une maison familiale ou autre... Tout jeune est respectable et doit bénéficier des mêmes aides.
       Je crois que nous avons essayé de le faire... Je suis de ceux qui vont quitter cette région. Une de mes fiertés, c'est d'avoir travaillé au niveau de la formation, parce que je crois que ça reste le fond de commerce essentiel. C'est l'avenir ! Nous y consacrons pratiquement de la moitié du budget régional ! Donc aujourd'hui, nous avons une des preuves supplémentaires, si c'était nécessaire. »

La présidente Ségolène Royal lors du Conseil régional Poitou-Charentes du 22 février 2010.
© kritix.com

La présidente remercia le conseiller et précisa :
       « Merci Beaucoup [...]. Je précise d'ailleurs dans ce cas, que l'aide forfaitaire annuelle aux entreprises qui prennent un apprenti, sera de 1400 euros. Elle sera portée à 1700 euros dans le cadre de formations dont le nombre d'heures dépasseront les 600 heures ; notamment pour toutes les formations post-baccalauréat. Cette aide sera versée à l'issue de chaque année de formation sur attestation d'assiduité de l'apprenti : c'est à dire moins de 10% d'absences injustifiées par an.
       Donc on redéfinit ainsi les règles d'apprentissages et en même temps on simplifie, je crois, les primes d'apprentissage.
       Et pour encourager l'accès l'emploi des jeunes à la suite de l'apprentissage, une aide complémentaire que nous appelons "les coups de pouces" de 500 euros, sera versée si l'entreprise signe avec le jeune un contrat à durée indéterminée... »

[Suite et fin de la séance publique du conseil régional du 22 février 2010 : TER : Poitou-Charentes a un train cadencé d'avance]


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