En 2015, François Hollande c'est 900 euros de dette publique supplémentaire par français !
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16ème Chronique

La Belle et la Dette

Kritix, le Thursday 22 October 2009 - 5614 consultations - Commenter la chronique

Madame la présidente de région Poitou-Charentes est consciente du concours indispensable de l'UE dans la réussite de sa politique régionale, qui lui permet de résister au sarkozysme, de résister à cette politique libérale de corporations.
       Lors de la séance plénière du conseil régional du 19 octobre 2009, Ségolène Royal rendra plusieurs fois grâce à son Directeur Général des Services, le valeureux et très loyal Jean Luc Fulachier, qui use du sens de l'abnégation avec une détermination républicaine jusqu'au boutiste rare. L'éloge, l'hommage rendu à cet homme de l'ombre, montre combien l'ombre et la lumière ne peuvent aucunement se dissocier l'une de l'autre, si tant est que l'on veuille réussir. À Jarnac, on ne s'est pas retourné dans la tombe...

L'UMP chercherait une opposante à Ségolène Royal pour les prochaines régionales : une sorte de kamikaze. Le loyal Henri de Richemont souligna à maintes reprises son absence d'ambitions nationales et se désole de la politique politicienne UMP tenue rue du Faubourg saint Honoré, dans la bonne ville de sainte Geneviève. L'élu UMP laisse l'état major du secrétaire général de l'Élysée Claude Guéant, bidouiller une recette médiatique prompte à plaire au triste sire Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa.
       Henri de Richemont, lassé par les atermoiements UMP sur sa candidature comme tête de liste aux régionales, laissa ce 19 octobre 2009, le champ libre à madame Royal qui sut occuper tout l'espace pour répandre sa bonne nouvelle : sa politique de résistance à la crise.
       Le sénateur Jean Pierre Raffarin est lui aussi dans la confidence, mais semble aujourd'hui écarté du jeu, depuis que l'Élysée reçoit des RG des sondages tout à la gloire d'une victoire de Ségolène Royal ; qui est perçue, depuis les alcôves du palais de Carla Bruni-Sarkozy de Nagy-Bocsa, comme « l'abominable femme photovoltaïque » qui ensorcèle le PNUD et irradie l'UMP en jetant son ombre sur le Grenelle de l'Environnement que la taxe carbone a définitivement souillé. Madame Royal a compris que cette taxe du socialiste Michel Rocard était un outil politique destiné à augmenter la pression fiscale sur les masses laborieuses, toujours les mêmes.


Poitou-Charentes : maîtrise de la dette, exemplarité fiscale
envoyé par kritixTV.
La présidente Ségolène Royal soulage ses compatriotes du fardeau de la crise.

Ségolène Royal, les traits tirés, soucieuse, « J'ai veillé à ce que la région, malgré la crise, continue à avancer » La présidente félicitera l'admirable travail du vice-président Bernard Grasset qui aura su boucler un budget : « exercice toujours difficile » selon Ségolène Royal.
       Dans le cadre des orientations budgétaires, elle présenta son armada anti-crise « [La région finance son budget] grâce à une gestion rigoureuse des économies, avec une récupération des réserves, et par des redéploiements budgétaires également. Nous le faisons sans augmenter les impôts pour la cinquième année consécutive, en stabilisant la dette. J'ai veillé à ce que nos interventions ne pèsent pas sur les charges des entreprises et des ménages » Elle a ce sens du détail et du symbole qui fit la marque du mitterrandisme...

Elle poursuivit, « Parce que c'est pareil, nous n'augmenterons pas la TIPP et [j'ai veillé] à ce que ces interventions contribuent à la croissance économique de Demain, en mettant l'accent sur la formation, sur l'innovation, sur la conversion écologique de notre économie, sur la croissance verte pour l'emploi. Nous marquons ainsi une montée en puissance de ce que nous faisons depuis 2004. Les orientations sont définies malgré les grandes incertitudes qui pèsent sur les recettes fiscales de la région. A ce sujet, je voudrai reprendre les conclusions du Comité Économique et Social régional qui, lors de sa dernière session, je le cite, "renouvelle ses réserves quant à la diminution des responsabilités fiscales des élus locaux, et du conseil régional en particulier. Cette décision va à l'encontre de l'esprit de la décentralisation, en rendant les collectivités dépendantes des dotations budgétaires nationales, entrainant une moindre dynamique des recettes mais aussi une perte d'autonomie, par la même une restriction du pouvoir d'action des collectivités."
       Tout est dit dans cet avis du CES régional sur les incidences des projets gouvernementaux qui sont tellement flous que les parlementaires réécrivent le projet de loi de finances. Nous sommes dans une incertitude entretenue par le gouvernement, ce qui rend délicate la préparation du budget pour 2010. Et c'est vrai dans toutes les collectivités, qu'elles soient de droite ou de gauche. J'ai vu aussi les débats lors d'une assemblée générale des maires, dans les quatre départements de la région : on avait eu le même écho et la même inquiétude, quelque soit la sensibilité politique. Malgré tout, je souhaite que nous conservions notre calendrier d'adoption du budget et que nous fixions clairement les orientations avec les informations dont nous disposons. »

Séance publique du Conseil régional Poitou-Charentes du 19 octobre 2009.
© kritix.com

« Je vous propose donc, pour 2010, les principales orientations suivantes.
       D'abord, faire en sorte que toutes nos actions nouvelles soient financées par des économies que nous constatons. Par des ajustements de nos politiques que nous pouvons faire. Là aussi, les actions régionales ont atteint leur but. Il est très difficile de remettre en cause les politiques, mais nous avons fait cet effort : quand les politiques ont atteint leurs objectifs, eh bien nous les remettons en cause pour investir les fonds de la région dans d'autres politiques qui ont besoin de l'action publique.
       Ensuite, [...] je vous propose donc de ne pas augmenter les impôts et que toutes les recettes nouvelles seront affectées à la diminution de l'emprunt d'équilibre pour continuer à maîtriser la dette. Concernant la dette, je tiens d'ailleurs à vous indiquer que, sur la base des prévisions dont je dispose actuellement, la dette régionale restera stable à la fin de l'année 2009, au même montant que fin 2008, voire légèrement en diminution (mais ça, je préfère attendre le résultat définitif de l'année pour vous annoncer la bonne nouvelle), conformément aux engagements pris par cette assemblée. »

« D'ores et déjà, je tiens à attirer votre attention sur les actions nouvelles significatives.
       D'abord pour le développement économique et l'emploi : un soutien renforcé à l'innovation et la mise en place d'outils de financements des entreprises régionales, [...].
       Dans l'agriculture : un soutien aux producteurs pour les aider à faire face à la crise et à trouver de nouveaux débouchés de proximité, tout en poursuivant le soutien à l'installation des jeunes agriculteurs, conchyliculteurs et pêcheurs.
       Pour l'excellence environnementale : l'amplification du plan régional "Initiative Climat" avec notamment des micro-crédits à 0% pour l'énergie verte, le plan énergie solaire régional et la protection de la biodiversité.
       Pour le TER : je vous annonce le lancement de nouvelles commandes de matériels pour les livraisons en 2012-2013.
       Et pour les Techniques de l'Information et de la Communication : la généralisation des chèques TIC à toutes les entreprises nouvellement crées.
       Pour l'égalité d'accès à la santé : la montée en puissance du plan régional des maisons de santé de proximité et le renforcement de l'accueil des étudiants en médecine, en milieu rural, afin d'inverser la spirale de la désertification médicale. »

« Toutes ces mesures représentent naturellement des charges nouvelles. J'ai fait le choix de ne pas augmenter les impôts en utilisant tous les leviers.
       D'abord, la mobilisation des réserves financières des structures que nous finançons. Il serait en effet paradoxal d'attribuer des subventions à des établissements ou des associations qui disposent encore de réserves fortes. Ces mesures, prises dés 2008, seront confortées et nous économiserons, en 2010, de l'ordre de 5 millions d'euros supplémentaires.
       Deuxièmement, l'adaptation de nos actions. Par exemple, les aides du fond régional "Excellence Environnemental" seront réservées aux projets qui en ont le plus besoin et versées sous condition de ressources.
       Troisièmement, l'innovation dans notre intervention. En effet, le fait de mettre en place des fonds de capital risque, permet d'avoir un effet-levier important en mobilisant moins d'argent publique pour un effet économique supérieur.
       Enfin, la recherche des co-financements. Par exemple, le haut commissariat à la jeunesse a accepté de co-financer le plan régional pour l'insertion des jeunes diplômés. Tout comme l'Europe pour le soutien aux énergies renouvelables ou pour financer la mobilité des apprentis ; et nous nous en félicitons ! »

Bernard Grasset, vice-président en charge des finances, fut chaleureusement félicité pour son travail utile et difficile. Le vice-président, stoïque, plaida d'une voix feutrée, « La commission confirme les incertitudes qui planent sur la réforme de la fiscalité locale et de la taxe professionnelle. […] [Nous finançons notre politique] sans recours supplémentaire au levier fiscal, depuis 2005, pour la fiscalité directe et indirecte. [...] Le budget 2009 s'est caractérisé par un endettement régional inférieur à la moyenne de la strate de référence. [...] Les orientations budgétaires pour 2010 proposent de maintenir un objectif de stabilité des crédits de paiements à inscrire, soit environ 685 millions, comme en 2008 et 2009 [...].
       [Pour la cinquième année consécutive], pas d'augmentation des impôts, pas d'augmentation des frais de fonctionnement de notre administration. »


Ségolène Royal s'arme contre les délocalisations
envoyé par kritixTV.
La présidente Ségolène Royal s'arme contre les délocalisations des entreprises de Poitou-Charentes.

Henri de Richemont honora le débat, avec son sens républicain que personne n'oserait lui contester, « Vous dites que vous n'avez pas augmenté les impôts. C'est une très bonne chose ! Et, ce ne doit pas être évident de prendre des décisions pareilles, parce que je lis dans le Figaro d'aujourd'hui, qu'un haut responsable du mouvement qui est le vôtre, nous indique que aujourd'hui la solution passe par les hausses d'impôts. Je vois que ce n'est pas unanimement partagé, puisque vous préconisez le contraire ! En cela, je vous rejoins absolument totalement ! » La présidente Royal ne sera pas celle de la taxe, comme l'est le Grenelle de l'Environnement avec son carbone. L'UMP carbonisé ?
       Henri de Richemont, haletant, « Je dirai que c'est un budget un petit peu conservateur, parce que l'on trouve les mêmes orientations que les autres années ; et avec une reconduction des crédits de paiements, absolument identiques à ceux qui étaient ceux de l'année dernière et ceux d'il y a deux ans. Alors que, aujourd'hui, dans une période de crise, je pense qu'il aurait été souhaitable […] d'avoir des investissements, d'accélérer les dépenses. Vous avez préféré réduire la dette, c'est peut-être très bien, mais je crois qu'aujourd'hui on a besoin de fonds qui soient injectés dans l'économie pour développer les investissements pour créer les emplois. […]
       Pour aider les entreprises, vous éviterez de faire appel à des fonds extérieurs et spéculatifs. Je ne me souviens pas que la région n'ait eu à recourir à des fonds spéculatifs. [...] Je croyais que vous étiez prête à faire appel à l'épargne privée, à tout ce qui constitue le bouclier fiscal. A faire en sorte que ceux qui paient l'impôt sur les grandes fortunes, investissent dans l'économie régionale. Ce qui est une bonne chose ! Alors j'aimerai savoir ce que vous entendez par "des fonds spéculatifs" ? »

Ségolène Royal montra, non sans un certain courage, comment le pouvoir politique pouvait se battre pied à pied contre les délocalisations économiques des PME de France. « Nous mettons en place un outil de capital risque pour éviter que des fonds de pensions ne viennent racheter des PME en région. Des fonds de pensions qui viennent d'on ne sait où ! [...] Ce que nous voulons, c'est que les PME de la région trouvent (puisque les banques, hélas, ne font toujours pas leur travail de prêts facilités aux PME) des fonds d'investissements sûrs, pour que la décision économique reste dans la région. [...] Le système financier actuel fait que certaines entreprises sont obligées de se tourner vers ces fonds spéculatifs ou que des fonds spéculatifs font main-basse sur des entreprises, au gré des stratégies. C'est essentiel de sécuriser les sources de financements des entreprises que nous soutenons massivement dans la région Poitou-Charentes, grâce aux dispositifs que nous avons mis en place.
       Pour ce qui est des impôts, je suis heureuse de voir que vous me rejoigniez sur ce point.
[Elle pique la marionnette Sarkozy... NDR] Le gouvernement que vous soutenez, monsieur De Richemont, je le dis sans polémiques, je l'ai déjà dit une fois mais c'est la réalité des choses, [le gouvernement] a créé 22 taxes ! 22 taxes supplémentaires en deux ans et demi ; et c'est vrai que nous ne voulons pas faire la même chose dans la région. »

La présidente de région Poitou-Charentes Ségolène Royal lors du Conseil régional Poitou-Charentes du 19 octobre 2009.
© kritix.com

Issue de la promotion Voltaire de l'ENA, rejetée par une certaine mitterandie, madame Royal sait pourtant combien le président Mitterrand avait une vision historique de la politique, exception faite de ses atermoiements lors des débuts du régime de Vichy. Cependant, madame la présidente de région sait qu'il faut tenir le cap de la rigueur en toutes choses et se conformer aux subtilités françaises. Si elle sait se départir des sectarismes idéologiques, alors et alors seulement elle pourra prétendre à la victoire : une élection universelle et nationale ne se gagne, en France, qu'au centre droit pour la gauche et qu'au centre gauche pour la droite. Il n'est pas difficile de le prouver par l'opération de charme fait par la Sarkozie aux radicaux de gauche et aux centristes endurcis. Remarquez que le testament politique du sarkozysme ne se résumera qu'à de la stratégie électorale : on a la postérité que l'on mérite...
      
       Sous le signe de Voltaire et de Mitterrand, les augures préfigurent les bons auspices des offices d'une salutaire résistance. Le président François Mitterrand regretta être le dernier d'une certaine France et de dire qu'après lui il n'y aurait plus que des gestionnaires. L'inconséquence politique du sarkozysme avalise son oracle et laisse à une France bafouée, cette chance retrouvée de descendre les champs élysées. Les ressources du génie français sont là, vivaces, inexploitées. Ramassez-les ! Elles sont là pour vous.

[Suite de la séance plénière dans la prochaine chronique]


BEI, un sésame pour la croissance verte en Poitou-Charentes
envoyé par kritixTV.
Le conseil régional Poitou-Charentes débat sur la croissance verte en région.


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