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Patrick Coronas ne veut plus d'un CCAS opaque
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Alain Claeys, bâtisseur du Grand Poitiers
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4ème Chronique
Patrick Coronas ne veut plus d'un CCAS opaque
Kritix, le Monday 20 September 2010 -
5898 consultations -
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Le titre de métropole est interdit aux villes moyennes, Poitiers et Angoulême verront donc les choses en Grand. Si le Grand Poitiers fait feu de tout bois en ce début de septembre 2010, c'est en raison du préalable budgétaire du conseil municipal du 29 mars 2010 qui, en son temps, avait fourbi ses armes...
Alain Clayes s'auto-censure : le MoDem débattra en aparté des abattements
Philippe Mahou, président du groupe MoDem :
Le maire Alain CLAEYS lors du conseil municipal de Poitiers du 29 mars 2010.
© kritix.com
Alain Claeys, interjeta, bien triste :
Philippe Mahou expose une note salée
Philippe Mahou déterminé, irrité par les circonvolutions jargonnesques :
Le conseiller MoDem Philippe MAHOU lors du conseil municipal de Poitiers du 29 mars 2010.
© kritix.com
« Alors loin de moi l'idée de donner une quelconque leçon. [C'est curieux : le rôle d'une opposition constructive est de dénoncer les déviances de la majorité et de lui suggérer des alternatives à ses dérives... Et en la matière, la leçon est nécessaire ; il ne faudrait pas trop l'oublier, au risque de s'oublier... NDLR] Je sais trop la difficulté qui consiste à mener de front tous les chantiers, à soutenir nos associations, la vie culturelle, sportive, sociale de la cité... et à garder le même niveau de service. Et d'ailleurs, je prends acte des efforts consentis... »
« En participant aux différentes commissions, nous voyons bien les efforts qui sont faits en ce sens. Ainsi, par exemple, le niveau des subventions versées, tous budgets confondus et je l'indiquais tout à l'heure, est stable. Mieux, la part des subventions dans les dépenses, passe de 25% à 24,1%. Je sais bien, par ailleurs, que l'augmentation automatique des dépenses de personnels liée au "glissement vieillesse-technicité", en particulier, représente une hausse automatique de 2% des coûts de la masse salariale, à effectif constant ; et qu'il devient alors bien difficile d'équilibrer le budget. Nous reconnaissons donc que le pilotage est meilleur que par le passé. Néanmoins, l'augmentation de la pression fiscale au-delà de celle de l'inflation, n'est pas une bonne nouvelle pour nos concitoyens !
Sur la leçon, Alain Claeys n'en rajouta pas:
Poitiers peine sur l'inventaire social de sa politique
Le conseiller communiste Patrick Coronas, lors de la séance publique du conseil municipal de Poitiers du 5 octobre 2009.
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Le conseiller communiste Patrick Coronas mit en garde contre l'autoritarisme en requérant une transparence plus grande sur les résultats des missions de la politique sociale de Poitiers :
« La baisse régulière de la dotation de l'État, fait que — que ce soit une collectivité gérée par la gauche ou par la droite, de toute façon, ça ne change pas grand chose — les difficultés qui commandent les collectivités locales à gérer leurs budgets, à gérer leurs missions, soient de plus en plus grandes ; c'est un premier point d'inquiétude.
Le conseiller communiste Patrick CORONAS (à gauche) et la conseillère Les Verts Christiane FRAYSSE (à droite) lors du conseil municipal de Poitiers du 29 mars 2010.
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Alain Claeys redoubla de prudence et ne voulut pas rendre public les aboutissants d'un budget social difficilement maîtrisable et rétif aux réformes :
À Poitiers, la pauvreté gagne du terrain, comme en campagne
Robert Rochaud, épris de gravité :
Le conseiller Les Verts Robert ROCHAUD lors du conseil municipal de Poitiers du 29 mars 2010.
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« Les services collectifs que nous offrons à nos concitoyens : sportifs, culturels, sociaux... sont des remparts au délitement de la société. Il est impératif de les conserver, voire de les renforcer. C'est ce que propose le budget : c'est pourquoi nous le soutenons. Nous le soutenons parce que nous allons renforcer les actions de solidarité avec les citoyens les plus touchés par la crise : l'aménagement de deux nouvelles épiceries sociales en Centre-ville, en est un exemple probant !
Des caisses vides qui ne font plus recette
« Au-delà du vote de ce budget, il nous semble que nous devons réfléchir aux moyens de desserrer l'étau dans lequel la ville est enserrée, entre les dépenses qui continuent de croître avec la demande de plus en plus de services des citoyens et les dotations de l'État qui diminuent régulièrement.
Poitiers : Veillée de Notre-Dame-la-Grande.
© kritix.com
« Troisième axe de réflexion : le financement de la réhabilitation du parc énergétique. Nous allons investir 2,25 millions d'euros dans la réhabilitation des bâtiments en recherchant la meilleure efficacité énergétique. C'est rien ! Comme je l'avais dit pour les Orientations budgétaires, c'est largement insuffisant ! Puisque à ce rythme, il nous faudra 50 ans pour réhabiliter le patrimoine de la ville ! Il nous faut réfléchir à une solution qui permette de ne pas comptabiliser dans la dette publique, nos emprunts pour financer les travaux d'économies d'énergie, dont le taux de rentabilité serait équivalent à l'annuité de la dette générée. Cette action nous permettra aussi de créer des emplois non délocalisables en luttant efficacement contre l'émission de gaz à effets de serre et le dérèglement climatique.
Alain Claeys, le verbe lent : [La suite du Conseil Municipal du 29 mars 2010 : Stéphane Braconnier exaspéré par l'alibi national] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2014-...) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2014-...) [externe] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2008-2014) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2008-2014) [pdf] |
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