Eric Martin, énarchique « troisième voie »
Fusion-acquisition : Chauvigny, Lusignan et Jaunay-Clan sont de Poitiers !
Libéral ultra combat des lys
Godwin aux manettes de l'occasion Cazeneuve
Social-libéral devenu
Courson Claeys !
PSMV et Bernard Cornu d'avenir ont plu
Alain Claeys « le gestionnaire » face à l'opposition de gauche
Maxime Huille oblige Alain Claeys de Poitiers
Claude Eidelstein JPR préside Grand Poitiers
LGV Poitiers-Limoges : les féministes mènent grand train
Jean-Marie Paratte, figure de réussite
La malédiction LGV taraude ses commanditaires
Laurence Vallois-Rouet glacée d'effroi par une Maternelle dépecée
Les officiers Cornu, Rochaud, Berthier, Macaire délivrent les HLM de l'Oppression
Train train Raffarin et viatique du code Vinci
BHNS et ANR : l'élixir de richesse poitevine
Richesses redistribuées, Poitiers sécurisé
Stéphane Braconnier exaspéré par l'alibi national
Patrick Coronas ne veut plus d'un CCAS opaque
Poitiers : Maryse Desbourdes dénonce la gestion de la dette voulue par Alain Claeys
Francis Chalard, si sûr de son victorieux étendard
Alain Claeys, bâtisseur du Grand Poitiers
|
17ème Chronique
PSMV et Bernard Cornu d'avenir ont plu
Kritix, le Sunday 17 March 2013 -
6628 consultations -
Commenter la chronique
Depuis des siècles et des siècles, « Poitiers-désolation » se réduisait à se confondre, vouée en vicissitudes funestes, disparitions mortifères à la Prévert : remparts, château, arène, aqueduc, rochers, tramway, vitraux, statuaire, églises, marchés... Un raffinement longtemps ignoré. Et vint 2008, l'esprit de la loi Malraux et un passionné de mutation urbaine, fasciné par la structuration des villes : fruit de l'aléa, fruit de ses semblables. Ainsi, avions-nous l'édile enthousiaste Bernard Cornu, préposé à l'urbanisme, retraité actif d'une « Cité-État du temps long ». De prime abord rigoriste, l'édile joua en posture du détachement prudentiel... Et face aux conservatismes, il sortit l'artillerie légère, puis lourde. Des mains du Tout-puissant-président-député-maire-bâtisseur, il reçut l'ambitieuse onction du libéral « bon plaisir ». Il fallait trouver celui qui allait muter Poitiers, celui qui allait bousculer Poitiers. Publiquement, le 24 novembre 2009, il entamait déjà sa longue marche. Et c'est dans le périple PLU, puis PSMV, que les inspections façon Prosper Mérimée flanquées d'un aide boîte-à-outils-tintinophile-sancto-bénédictain, établirent une codification de l'usage urbain poitevin... Transport que l'agitateur d'idées Bernard Cornu fit en confiance ; lui qui arpenta ruelles, rues et avenues ; lui qui emporta les expertises les plus souriantes, avenantes et gratifiantes pour le Grand Poitiers présidentiel de 2013, dans une promenade au sommet. Si loin de ceux qui décidaient sans trop savoir...
Modernité et sagacité de celui qui lève les yeux
Bernard CORNU, rapporteur de la commission
Développement Urbain du Grand Poitiers, 2009.
© kritix.com
En 2013, il est déjà possible de jauger sa contribution. La course à l'Unesco, c'est maintenant ! Poitiers est désormais dotée d'un outil-expertise à considérable mesure. C'est une photographie technique du paysage urbain qui à lui seul expose les potentiels de tous les possibles ; tous réalisables à terme. C'est un conseil politique fort et sans précédent sur l'oppidum picton : Lemonum des ruses. La réalisation est insolente, suffisante, capitale. Bernard Cornu a donc réussi, là où ses prédécesseurs avaient tous platement échoué. Ce pédagogue course le résultat et agit autrement ; et l'on se prend à respirer, déambuler, flâner dans les pas d'Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc, si sûr de son témoignage. La pulsation-Cornu du converti impressionne et s'impose à l'ombrageux porteur de clés de cour, en perpétuelle grande vadrouille PPP. Radegonde veille...
La réalisation politique n'est pas du domaine de l'expertiseL'élu Bernard Cornu agace beaucoup, irrite souvent les « vois petit », parfois se perd dans les mises en œuvre ; interprétations si glissantes d'une partition quand l’incompétence de certains réseaux corporatistes se jouent des conflits d'intérêts, cherchent à corrompre. Et là, à ce train-là dire Non est une décision qui dépend d'en haut. Mais au fond, pour lui, l'essentiel est sauf : le meilleur est possible. Bernard Cornu laissera à la postérité une empreinte sculpturale en chacun des projets urbains poitevins, évolutifs, assurément vivants. Poitiers comprend désormais un hussard et pour longtemps. Poitiers vaut bien un plan... de sauvegarde et de mise en valeur ! La réserve d'indiens est ravie. À vous, « Dortoir des moines » !
Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2014-...) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2014-...) [externe] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2008-2014) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2008-2014) [pdf] |
Dernières publications
Eric Martin, énarchique « troisième voie »
Marchés et Pyongyang ou la dissuasion nucléaire déconstruite
Fusion-acquisition : Chauvigny, Lusignan et Jaunay-Clan sont de Poitiers !
Capital sapiens sapiens, Chicago aura ta peau
Xi Jinping, Vladimir Poutine, contre-maîtres d'une globalisation désoccidentalisée
Libéral ultra combat des lys
Godwin aux manettes de l'occasion Cazeneuve
La VIe République du 11 janvier 2015
Robert Rochaud, bocage d'un naturel
Social-libéral devenu
Christiane Fraysse l'humaniste révèle Poitiers 2014
Courson Claeys !
|
Pour s'inscrire, cliquez-ici.
Mot de passe oublié ?