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17ème Chronique
PSMV et Bernard Cornu d'avenir ont plu
Kritix, le Sunday 17 March 2013 -
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Depuis des siècles et des siècles, « Poitiers-désolation » se réduisait à se confondre, vouée en vicissitudes funestes, disparitions mortifères à la Prévert : remparts, château, arène, aqueduc, rochers, tramway, vitraux, statuaire, églises, marchés... Un raffinement longtemps ignoré. Et vint 2008, l'esprit de la loi Malraux et un passionné de mutation urbaine, fasciné par la structuration des villes : fruit de l'aléa, fruit de ses semblables. Ainsi, avions-nous l'édile enthousiaste Bernard Cornu, préposé à l'urbanisme, retraité actif d'une « Cité-État du temps long ». De prime abord rigoriste, l'édile joua en posture du détachement prudentiel... Et face aux conservatismes, il sortit l'artillerie légère, puis lourde. Des mains du Tout-puissant-président-député-maire-bâtisseur, il reçut l'ambitieuse onction du libéral « bon plaisir ». Il fallait trouver celui qui allait muter Poitiers, celui qui allait bousculer Poitiers. Publiquement, le 24 novembre 2009, il entamait déjà sa longue marche. Et c'est dans le périple PLU, puis PSMV, que les inspections façon Prosper Mérimée flanquées d'un aide boîte-à-outils-tintinophile-sancto-bénédictain, établirent une codification de l'usage urbain poitevin... Transport que l'agitateur d'idées Bernard Cornu fit en confiance ; lui qui arpenta ruelles, rues et avenues ; lui qui emporta les expertises les plus souriantes, avenantes et gratifiantes pour le Grand Poitiers présidentiel de 2013, dans une promenade au sommet. Si loin de ceux qui décidaient sans trop savoir...
Modernité et sagacité de celui qui lève les yeux
Bernard CORNU, rapporteur de la commission
Développement Urbain du Grand Poitiers, 2009.
© kritix.com
En 2013, il est déjà possible de jauger sa contribution. La course à l'Unesco, c'est maintenant ! Poitiers est désormais dotée d'un outil-expertise à considérable mesure. C'est une photographie technique du paysage urbain qui à lui seul expose les potentiels de tous les possibles ; tous réalisables à terme. C'est un conseil politique fort et sans précédent sur l'oppidum picton : Lemonum des ruses. La réalisation est insolente, suffisante, capitale. Bernard Cornu a donc réussi, là où ses prédécesseurs avaient tous platement échoué. Ce pédagogue course le résultat et agit autrement ; et l'on se prend à respirer, déambuler, flâner dans les pas d'Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc, si sûr de son témoignage. La pulsation-Cornu du converti impressionne et s'impose à l'ombrageux porteur de clés de cour, en perpétuelle grande vadrouille PPP. Radegonde veille...
La réalisation politique n'est pas du domaine de l'expertiseL'élu Bernard Cornu agace beaucoup, irrite souvent les « vois petit », parfois se perd dans les mises en œuvre ; interprétations si glissantes d'une partition quand l’incompétence de certains réseaux corporatistes se jouent des conflits d'intérêts, cherchent à corrompre. Et là, à ce train-là dire Non est une décision qui dépend d'en haut. Mais au fond, pour lui, l'essentiel est sauf : le meilleur est possible. Bernard Cornu laissera à la postérité une empreinte sculpturale en chacun des projets urbains poitevins, évolutifs, assurément vivants. Poitiers comprend désormais un hussard et pour longtemps. Poitiers vaut bien un plan... de sauvegarde et de mise en valeur ! La réserve d'indiens est ravie. À vous, « Dortoir des moines » !
Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2014-...) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2014-...) [externe] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2008-2014) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2008-2014) [pdf] |
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