En 2015, François Hollande c'est 900 euros de dette publique supplémentaire par français !
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11ème Chronique

La malédiction LGV taraude ses commanditaires

Kritix, le Thursday 17 February 2011 - 5688 consultations - Commenter la chronique

Pour certains de la haute, l'exemplarité ne pourra jamais venir d'en bas. Encore moins la décision politique ! Notre pauvre République a bien du soucis à se faire... Le préfet Bernard Tomasini veille sur ses ouailles désormais toutes chantantes et tremblantes. Le pourtant encore gaulliste Bernard Tomasini est un exécutant hors pair du triumvirat élyséen.
       Simple conseil prudentiel : que les potentats prennent garde de se faire déborder sur leur droite et sur leur gauche ! Du compromis à la compromission, il n'y a qu'un pas que certains franchissent allègre...ment.

Le premier édile Alain Claeys reconnait le bipartisme comme conception réaliste de la démocratie. Les années faisant, l'ex lieutenant de Jacques Santrot, à vouloir trop le ménagement, s'est arrangé idéologiquement. Les vues de court terme ne sont jamais les plus certaines.

Le bipartisme dans toute son impasse

Lors des orientations budgétaires de la séance publique du conseil municipal de Poitiers du 14 février 2011, monsieur le maire, soucieux :
       « On dit que les politiques locales peuvent remplacer une politique nationale, ou venir modifier une politique nationale. Je vous le dis très clairement, nous sommes une collectivité locale : on ne fera jamais une politique nationale. C'est quelque chose qui n'est pas réaliste. » Le grand élu explique ainsi que le mandat des grands électeurs est politiquement inaliénable et que seul le bipartisme pourra décider de ce qui sera démocratique ou pas. On sent bien ici que notre pauvre Vème République est à bout de souffle, sclérosée dans ses privilèges oligarchiques.

Poitiers : le président de la CAP songeant aux transparences de l'histoire de sa capitale.
© kritix.com

« Il y aura un débat national l'année prochaine. A l'occasion de l'élection présidentielle... Et ces deux projets nationaux s'opposeront. » Monsieur le président député-maire est ici très oublieux du pluralisme de la démocratie française. N'accablons pas cet égarement, c'est de tradition au palais Bourbon où la représentation censitaire constatée, moque le bon peuple avec toute la bêtise d'institutions en bout de course...

« Et si la politique nationale qui est menée par ses choix a des effets néfastes y compris sur les collectivités locales, c'est pas au niveau local que l'on trouvera la solution mais c'est bien au niveau d'un débat national. » Alors là c'est une blague ! Il est ici demandé aux électeurs de laisser libre court aux compromis inavouables du bipartisme oligarchique : un mandat électif n'est pas un blanc-seing. « On n'est pas là pour trancher ce débat. Ce débat aura lieu en 2012. » Circulez il n'y a plus rien à voir ! Voilà une bien curieuse manière de traiter l'esprit de notre constitution. Disons que la farce aura encore lieu, d'ici quelques mois, en Congrès à Versailles dans une France écœurée par ce jeu de chaises musicales, où les transfuges politiciens s'asseyent sur les principes et les vertus républicaines ! Citoyens ne vous laissez pas abuser ! Votez pour le pluralisme politique ! Honnissez les pensées monolithiques !

Ceux qui croient que seul le détournement des urnes suffira à représenter politiquement la France mentent et se mentent. Il arrivera ce qui devra arriver, si l'on maintient les financiers au pouvoir... Il arrivera que la spéculation changera mécaniquement de camp et fera, d'ici peu, vaciller tous ces cols blancs, plus très blancs.

L'État abandonne la Nation et fait de son Journal Officiel une farce

Le bon DGF Francis Chalard, toujours enclin au miracle :
       « Dans ce contexte économique plutôt morose, les collectivités ont joué un rôle d'amortisseur social et comptent bien continuer à jouer ce rôle en 2011. [...] Nous voulons garantir un bon niveau de service public. Nous voulons préparer l'avenir. [...] Nous souhaitons ne pas alourdir la fiscalité des ménages à un moment où le pouvoir d'achat est fortement attaqué. Nous souhaitons maîtriser notre dette. » Et dire que le premier édile prétendait ne pas pouvoir agir localement sur la politique nationale ! Heureusement que le DGF rappèle publiquement le rôle politique et décisionnel des collectivités locales dans la correction des dérapages, voire la résistance face à une politique de terreur au niveau national. Heureusement que le maire de Poitiers ne réalise pas tous les oukases préfectoraux... Comme pour tout élu, une famille politique s'entretient : il ne fallait pas aller trop loin... mais donner des gages à ses partisans.

Tour à tour, Francis Chalard, le DGF qui fait plus qu'un jeu d'écriture :
       « Je vous rappèle qu'il n'y a pas d'augmentation d'impôts compte tenu de l'inflation et du désengagement de l'État »

La conseillère "Alternative à Gauche" Maryse DESBOURDES, lors du conseil de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (CAP) du 26 mars 2010.
© kritix.com

Puis, l'opposante de la gauche alternative, Maryse Desbourdes :
       « Il est clair que les politiques nationales ont une incidence sur les politiques locales. Mais à aucun moment vous ne proposez de les combattre ! Vous nous dites qu'il faut attendre 2012 ! »

Le maire Alain Claeys interjeta :
       « J'ai voté contre le budget de l'État : çà vous ne pouvez pas le nier. Depuis le début de cette législature, j'ai voté contre tous les budgets de l'État... Et je suis intervenu à chaque fois, comme je suis membre de la Commission des Finances, pratiquement avec vos arguments ! Pas tout à fait tous les mêmes [Ricanements, Ndlr]. Donc j'ai mis mes actes en corrélation avec mes paroles.
       — Dont acte,
répondit l'opposante Desbourdes. Mais c'est bien que nous ayons pu entendre votre vote.
       — Ben voilà ! C'est dans le journal officiel ! C'est dans le journal officiel !
répéta le maire.
       — Je ne lis pas le journal officiel tous les jours, je suis désolée,
fit remarquer Maryse Desbourdes. Le maire souriait d'agacement. Mais parce que j'ai noté qu'il y a un lien entre les politiques nationales et les politiques locales. Et je pense qu'il faudra en informer la population.
       — Maryse ! Maryse, ce que j'ai voulu dire c'est que il y a un lien entre la politique nationale, par ses conséquences, sur la politique locale. Tout à fait d'accord avec toi. Mais ce que j'ai dit c'est qu'il ne faut pas laisser croire que c'est la somme des politiques locales qui fera une politique nationale nouvelle.
[Le problème c'est que la France n'est plus gouvernée : les perspectives sont inexistantes ! Les commissions du palais Bourbon doivent donc suivre le député Borloo à la buvette. NDLR]
       — Ça je l'avais bien compris.
       — Tu es d'accord avec moi ?
fit, narquois, le maire.
       — On peut se battre aussi...
       — On peut dans un deuxième tour... Voilà...
[Quand les râleurs sont muselés... Ah, la boulette... NDLR]
       — Moi, je ne parle pas des élections... Je parle du combat au quotidien. C'est ce dont on a besoin aujourd'hui ! C'est pas les élections qui...
       — Je suis arrivé en retard tout à l'heure parce que je recevais des travailleurs sociaux [...]. Il n'y a pas d'élection.
[Le maire répondait à l'intention électoraliste prêtée à son endroit par la conseillère Maryse Desbourdes, NDLR]
       — Pourtant, vous en parlez beaucoup des élections. Il y a les cantonales, il y a les présidentielles de 2012... »

Le conseiller UMP Stéphane BRACONNIER lors du conseil municipal de Poitiers du 14 février 2011.
© kritix.com

L'opposant UMP Stéphane Braconnier, corrosif, parlant de la politique locale poitevine conforme aux exigences du préfet Bernard Tomasini :
       « Le thème du désengagement de l'État dont vous avez usé et même abusé [...] a quasiment disparu du document des orientations budgétaires. Çà, vous en serez d'accord, c'est une bonne nouvelle. »
       L'opposante Martine Jammet, impassible sur les orientations budgétaires :
       « C'est un zeste de rigueur avec un soupçon de rupture. On ne vous a pas ré-entendu, monsieur le maire, évoquer à plusieurs reprises "en politique la rupture n'existe pas" ? Nous étions persuadés que des orientations novatrices, sinon révolutionnaires à l'échelle de Poitiers, allaient survenir. [...] Employer les formules "adapter nos dépenses à nos recettes", "s'associer aux efforts de l'État", voilà qui est une rupture majeure par rapport aux termes "compensations ou désengagements de l'État" évoqués à 5 ou 6 reprises dans les orientations de l'année passée. » Le sénateur Jean-Pierre Raffarin est passé par là...

Alain Claeys, visiblement irrité :
       « Une rupture çà veut dire quoi ? Dans la vie d'une ville il n'y a pas de rupture. Il y a des évolutions. Et dans une municipalité de gauche, aujourd'hui on doit y mener cette politique. Et lorsque dans quatre ans il y aura une nouvelle municipalité, il y aura des adaptations à faire. Nous avons une feuille de route, nous la tenons. [...] Nous arriverons à faire cette politique en maîtrisant les choses. [...] [Et se tournant en souriant vers le conseiller Stéphane Braconnier, Ndlr] Ne soyez pas plus militant que vous ne l'êtes !
       — C'est un compliment ! »
répliqua l'intéressé, amusé.

LGV sarkozyste ou l'outil d'asservissement des collectivités locales

Brusquement, l'opposant Stéphane Braconnier agita le conseil municipal devant un certain Jean-François Macaire interdit :
       « Est-ce que vous avez des contacts avec la Région sur [le sujet de la mise à deux fois deux voies de la RN 147 et de la RN 149] ? Dés lors qu'il s'agit d'un axe d'intérêt régional, il serait important de savoir si, en tant que maire ou en tant que président de Grand Poitiers, vous avez pris contact avec la présidente de Région sur cet axe-là. J'ajoute d'ailleurs, c'est de savoir s'il y a une stratégie de priorité entre l'axe ferroviaire et l'axe routier... Ça c'est un vrai sujet... Je crois que ce sera difficile de rentrer dans le secret des dieux, dans le sérail. Il sera difficile de porter deux dossiers de cette envergure-là auprès de l'État, qui va financer deux dossiers : la LGV Poitiers-Limoges et la mise en deux fois deux voies de la RN 147 et de la RN 149. Et là encore en terme de priorité, quelle sera votre priorité au-delà des incertitudes sur la position de la Région Poitou-Charentes sur la LGV Poitiers-Limoges ? Avec, il faut bien le dire, une attitude pas très collabo... aidante sur cette question. » Serait-ce que monsieur Alain Claeys serait, pour la préfecture, un bon collabo... aidant ?

Alain Claeys sous les yeux incrédules d'un certain Jean-François Macaire des plus muets :
       « Est-ce que j'ai des contacts avec la présidente de Région Ségolène Royal ? Oui.
       — Ah ! Ah ! Ah!
rirent des membres de la majorité et de l'opposition. » Ce devait être surement un comique de situation... En tout cas le conseiller Stéphane Braconnier jubilait de voir tout l'embarras d'un maire sur la défensive...

Alain Claeys, raidi :
       « Vous savez qu'il y a l'autonomie des collectivités locales... Et j'y tiens absolument. [...] Je suis un fervent [partisan], peut-être le seul [Ironie mal feinte, NDLR], sur la LGV Poitiers-Limoges qui est indispensable. Et çà serait une erreur historique de ne pas faire cette liaison ! Je voudrais faire un peu d'histoire [C'est toujours rafraîchissant... NDLR]. On était bien les seuls avec Jacques Santrot — et je voudrais lui rendre hommage ce soir — à nous battre depuis treize ans sur Tours-Bordeaux. Enfin, j'espère que les conventions vont être signées. Imaginez qu'on ait refusé Tours-Bordeaux et qu'il n'y avait pas de branchements à Châtellerault ou à Poitiers ! Cela aurait été une erreur historique ! Pour Poitiers-Limoges, il y a du chemin, il y a du travail à faire... Je vous signale que tous les parlementaires, tous les membres sénateurs et députés, ont signé, ont voté à l'unanimité la loi qui institue Poitiers-Limoges dans la SAE. En ce moment, ils sont bien tous silencieux ces parlementaires, sauf une à qui je voudrais rendre hommage, Catherine Coutelle. Qui avec moi défend Poitiers-Limoges. » Le président député-maire Alain Claeys n'est pas si seul : tout l'UMP le soutient avec envie. Le maire socialiste oublia juste de préciser qu'une certaine Bernadette Chirac et le cartel des libéraux UMP et de la gauche caviar, soutiennent cette ligne dont le financement ne peut structurellement, politiquement, tenir dans le champ juridique strict de la compétence. La compétence générale n'est pas là pour financer les dividendes de politiques de libéralisations. En tous cas, il ne s'agit pas ici d'une politique de gauche ni de droite républicaine et souveraine de ses lois. À moins que nos parlementaires ne soient que de simples bégayeurs de la bureaucratie européenne...

Le maire Alain CLAEYS lors du conseil municipal de Poitiers du 14 février 2011.
© kritix.com

Alain Claeys poursuivait :
       « Et je ne désespère pas... Alors il y a des échéances électorales, cantonales... Le département qui est important... Il y a d'autres choses... Mais il faut quand même être respectueux, y compris de ses voisins. Cette loi a été voté à l'unanimité [C'est dire la liberté de ton et la représentativité des modes de scrutin du bipartisme... NDLR], ce qui a conduit Limoges et la région du Limousin de financer la SEA pour Tours-Bordeaux ! [...] J'espère que je serai suivi. Jusqu'ici je l'ai été au niveau du Grand Poitiers. [...] Les LGV sont indispensables pour désenclaver Poitou-Charentes et pour que Poitou-Charentes soit dans une situation d'attractivité. Parfois, il faut mener des combats solitaires [Ce combat partagé par le maire socialiste de Poitiers est surtout celui du gouvernement UMP : vous savez, ce Grenelle de l'Environnement qui perverti la vertu écologique pour en faire de la spéculation pure... NDLR] On l'a fait sur Tours-Bordeaux sur un certain nombre d'années. Je crois que l'on est sur le point d'aboutir... J'espère que sur Poitiers-Limoges, ce sera de même. »

« Alors il y a une grande critique que l'on peut faire... Pourquoi c'est aux collectivités locales de le financer ? C'est vrai que c'est scandaleux que les collectivités locales le finance ! Mais c'était aussi scandaleux quand on a demandé, il y a quelques années, aux collectivités locales de financer les universités ! Souvenez-vous ! [Le maire Jacques Santrot doit surement s'en souvenir puisque plusieurs bâtiments tombaient en ruine, comme les piscines communales... NDLR]. Alors aujourd'hui, je souhaite l'alternance [Sous-entendu, le bipartisme renforcé, NDLR] mais je ne souhaite pas que quelqu'un prenne l'engagement, aujourd'hui à gauche, en disant, "si on est élu, on reviendra sur l'engagement des collectivités locales et les collectivités locales ne paieront pas". Je ne le crois pas.
       — Sauf en Poitou-Charentes ?
railla Stéphane Braconnier.
       — Si certains prennent des engagements, peut-être. Mais je ne crois pas. Donc je trouve scandaleux, c'est vrai, le financement... [...] [Mais] dire non à Tours-Bordeaux, ce serait de la folie ! Et j'espère convaincre pour Poitiers-Limoges. [...] Et entre le fer et la route, je rejoins l'attitude de monsieur Borloo : je pense que, dans les années qui viennent, la priorité sera donnée au fer [plutôt que] à la route.
       — Je voulais vous remercier, monsieur le maire. Voilà des termes sur lesquels nous ne sommes pas en rupture »
persifla Stéphane Braconnier.

L'ancien bras droit de Jacques Santrot, le conseiller de la majorité Maurice Monange, osa le mot :
       « Je ne vois pas pourquoi la Région serait opposée à une voie royale entre Poitiers et Limoges... » Rires gras chez certains...

Durant cette même séance, Les Verts déploreront la précipitation sur la délibération du réseau routier : le passage en force finit par irriter un peu partout... Mais c'est que la méthode Didier Migaud a fait ses preuves.


Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2014-...) [pdf]
Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2014-...) [externe]
Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2008-2014) [pdf]
Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2008-2014) [pdf]

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