Pingres banlieues : Azouz Begag pourquoi te caches-tu ?
Nul ne saurait Haigneré la "recherche fondamentale" !
RMA : le Fillon de la discorde !
Raffarin a la LEN mauvaise !
Raffarin, crise ! Tr'affarien...
Le peuple bat le pavé... Raffarin bat en retraite !
Raffarin débridé par un viral colin-maillard !
Désordre : la SECU part en... OUILLE ! Sarkozybavures...
Cancer : tolérance zéro pour les fumistes !
Monsieur 49-3 neutralise les jacobins parisianistes !
Monsieur 49-3 est en cure !
Hallucinations Raffarin !
Sagesse JOSPINcendiaire !
Bayrou raille le train-train Chiraco-Schröder !
Ce n’est pas la Mer à boire, Francis !
Sur la longue route du bon De Robien !
Accusé Juppé, avancez !
UMP en apnée !
Villepin : le Tri ' poli vietnamien !
Caries chiraquistes !
Sarkozy ne CNIL pas des yeux !
Perverse exception française !
SECU sous perfusion !
Papon, le révisionniste !
"Terroir Raffarin": Budget flambé
Le "6 SMIC en 1" de Fillon
Chirac bouscule les "G8 compromissions !
Le conjuré Chirac mortifie la CPI !
La plaie des nantis !
Aux armes, Raffarin !
Polémique chasseresse !
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7ème Chronique
"Terroir Raffarin": Budget flambé
Kritix, le Monday 16 September 2002 -
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Mépris de la France d'en bas pour mieux servir la France d'en haut et piétiner celle du sous-sol carcéral ! La politique de classe est une marque de fabrique très Raffarin ! Pourquoi ? Observez pour commencer la conjoncture économique française en quelques chiffres. Le déficit budgétaire de la France accuse un dérapage de 32% sur les sept premiers mois de l'année 2002, à 37.150 millions d'euros contre 28.060 millions un an plus tôt, selon les chiffres publiés par le ministère des Finances. Dans un communiqué, Bercy explique le creusement de ce déficit par le nouveau repli des recettes fiscales nettes malgré le ralentissement des dépenses. Le collectif budgétaire adopté cet été par le parlement a fixé le déficit à 45 milliards d'euros pour l'ensemble de l'année 2002. Les dépenses des sept premiers mois de l'année sont en hausse de 3,6% à 161,74 milliards d'euros, soit une progression "conforme à celle attendue en année pleine", précise Bercy. Néanmoins, la charge nette de la dette accélère fortement pour atteindre une croissance annuelle de 5% à la fin juillet (contre +0,9% annuel fin juin). Dans le même temps, les recettes du budget général ont diminué de 1,6% par rapport à la fin juillet 2001. Les recettes de l'impôt sur le revenu sont en baisse de 1,1% d'une année sur l'autre, Cette diminution ne tient pas compte de l'impact des réductions d'impôt décidées par le gouvernement Raffarin dans la loi de finances rectificative. De son côté, le recul des rentrées d'impôt sur les sociétés s'est amplifié, atteignant 10% fin juillet sous l'effet de restitutions importantes, précise le ministère. Les recettes de TVA apparaissent, elles aussi, moins dynamiques qu'à la fin juin avec un taux de croissance annuel de 1,6% fin juillet (+2,2% fin juin). Les recettes de TIPP sont pour leur part en augmentation annuelle de 1,4%. Après ce bref état des lieux de la conjoncture économique française, voyons en ses perspectives à moyen terme. Le dérapage du déficit budgétaire de la France devrait s'accentuer dans les prochains mois, ce qui pourrait compromettre le respect du niveau de 3% de déficits publics prévu dans le pacte de stabilité européen, estiment des économistes depuis le 09/09/2002 . Le ministère français de l'Économie et des Finances a annoncé que le déficit budgétaire de la France avait accusé un dérapage de 32% sur les sept premiers mois de l'année 2002, à 37,15 milliards d'euros. Si un dérapage était prévu après l'audit des finances publiques commandé par le nouveau gouvernement, certains économistes estiment que le ralentissement de la croissance attendu au second semestre pourrait le creuser un peu plus, rendant aussi plus périlleux l'exercice budgétaire 2003. Le ministère de l'Économie explique que le creusement observé en juillet provient d'un nouveau recul des recettes fiscales malgré le ralentissement des dépenses. Les recettes de l'impôt sur le revenu ont baissé de 1,1% d'une année sur l'autre. Un recul qui devrait s'accentuer dans les prochains mois puisque les chiffres de juillet ne tiennent pas compte de la réduction de 5% décidée par le gouvernement Raffarin qui s'appliquera au dernier tiers payable le 15 octobre. La baisse des recettes générées par l'impôt sur les bénéfices des sociétés s'est également amplifiée pour atteindre 10% fin juillet. Pour Emmanuel Ferry, économiste chez Exane, "le déficit va être bien supérieur aux prévisions du gouvernement (et) les déficits publics pourraient atteindre 3% du PIB cette année". Le collectif budgétaire 2002 mis en place par le gouvernement après les élections prévoyait un déficit budgétaire de 45 milliards d'euros, soit 3,1% du PIB, l'ensemble des déficits publics (déficit budgétaire plus déficits des administrations publiques et déficits sociaux) s'établissant à 2,6%. Marie-Pierre Ripert, économiste chez CDC-Ixis, estime que compte tenu d'un nouveau dérapage attendu dans les prochains mois en raison du ralentissement de la croissance et de la remontée du chômage, les déficits publics devraient plutôt atteindre 2,7% du PIB à la fin de l'année et se maintenir à ce niveau l'an prochain. Comme la plupart des économistes, la CDC a révisé en baisse ses prévisions de croissance à 1% seulement pour cette année et 2,4% l'an prochain en raison de l'activité moindre qu'attendu en Europe et aux États-Unis. L'éventualité d'une intervention militaire en Irak, qui a déjà fait flamber les prix du pétrole, pourrait peser un peu plus sur la croissance si elle se réalisait, a prévenu ce week-end à Copenhague le ministre français de l'Économie Francis Mer devant ses homologues européens. Alors que la Banque centrale européenne s'est refusée à diminuer à nouveau les taux d'intérêt, les ministres des finances réunis à Copenhague ont estimé que la croissance de l'Euroland se situerait vraisemblablement un peu en dessous d'un pour cent en 2002. Compte tenu de ces pauvres performances, il paraît exclu que la France et l'Allemagne puissent respecter l'échéance de 2004. "A l'impossible nul n'est tenu", a rappelé à ses homologues européens Francis Mer. Aussi la France tente-t-elle de négocier un report de l'échéance 2004 relative à l'équilibre budgétaire devant s'imposer à l'ensemble des pays membres de l'UE. En chiraquie, on s'arrange de tout avec les bons produits politiques du Terroir estampillés Raffarin… Vous êtes servi…Bon appétit ! Elle est pour une fois bien rôtie la tête de veau de Jacques…Choisie pas folle, la bête ! |
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