Sacre Royal
H -67 : Le râteau de Dominique Bussereau
H -91: l'UMP de Dominique Bussereau toujours en rase-motte devant le PS de Ségolène Royal
H -115: Dominique Bussereau promène le petit diable
H -137: L'abstention picto-charentaise : bascule républicaine
H -165: Second tour, place au bipartisme et au cynisme!
J-22 : Nécrologie politique de la liste Europe Écologie
J-26 : Gisèle Jean, l'intransigeante
J-28 : Sondage flatteur pour Jean-Marc de Lacoste-Lareymondie
J-31 : Génération écologie rejoint le Modem de Pascal Monier
J-33 : le NPA d'Olivier Besancenot investit Myriam Rossignol
J-36 : Dominique Bussereau profane la France !
J-38 : Le bipartisme se ferait prix Coutant
J-41 : Martine Aubry oint la liste socialiste de Ségolène Royal
J-46 : Panache Monier-Bayrou versus Marmin-Elkabbach dans la main de Royal
J-48 : Nathalie Arthaud et Ludovic Gaillard en lutte ouvrière
J-52 : Dominique Bussereau vitupère Nicolas Sarkozy
J-54 : Ségolène Royal joue contre elle-même
J-56 : le FDG et Gisèle Jean sonnent le tocsin social
J-58 : les Verts schismatiques Georges Stupar et Alain Bucherie
J-60 : Le DLR de Nicolas Dupont-Aignan et d'Alain Verdin
J-62 : Dominique Bussereau fait flamber l'Impôt
J-64 : Gisèle Jean ou l'alternative du Front de Gauche
J-68 : Pascal Monier, la surprise Modem
J-72 : Françoise Coutant et les Verts mutent avec Europe Écologie
J-79 : La Mère Noël de Cerizay
J-82 : Marine ne peine pas sur l'identité nationale
J-86 : La dame de Copenhague
J-91: Pente raide et longue aux transports pour le ministre-candidat Bussereau
J-94 : le MODEM choisit Nicolas Turquois et Valérie Marmin pour la Vienne
J-96 : Ségolène Royal, alone in the dark
J-98 : Jean-Marc de Lacoste-Lareymondie, frontal
J-100 : verte campagne de Françoise Coutant
J-102 : Dominique Bussereau, happy few of Sarkozie
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17ème Chronique
J-54 : Ségolène Royal joue contre elle-même
Kritix, le Tuesday 19 January 2010 -
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Le ciel pleurait... Dimanche 17 janvier 2010, le soleil humide de La Rochelle trompait les hirondelles ; à tire-d'aile, le printemps chantant leva l'ancre port des Minimes, loin de la criée... Drôle de campagne que celle de débaucher ceux qui n'étaient pas à soi ; chez les socialistes les talents ne manquaient pourtant pas ! La liste socialiste menée par Ségolène Royal perd son innocence, perd le peu de confiance républicaine que le Modem lui vouait pourtant encore... La rochelaise Modem Élisabeth Delorme-Blaizot ne s'y trompa pas et fustigea la désertion de la tête de liste Modem de Charente-maritime. Le président François Bayrou enrage contre cette trahison et saura ne pas l'oublier... L'UMP en salivait déjà par la voix de Dominique Paillé, le 18 janvier 2010. Guillaume Garot, le nouvel aide de camp de Ségolène Royal, semble faire partie de la new « cour Royal ». Cet entourage surprend, tant ce frêle équipage commet, se commet avec une Ouverture que l'UMP n'aurait pas renié et qui rappelle de lamentables pratiques élyséennes.
La République laïque renouvelée de Malek Boutih a dû rougir de honte devant de telles déviances ! Pourquoi la gauche de gouvernement se met-elle donc à ériger le bipartisme pour mieux stériliser toute la richesse de la morale républicaine ?
Ségolène Royal, tête de liste du Parti Socialiste aux Régionales 2010 en Poitou-Charentes.
© kritix.com
Pourtant, à La Rochelle, devant un aréopage d'obligés, la présidente-candidate de Poitou-Charentes, terrifiée par Europe-Écologie qui ferait de sa candidature un nouveau 21 avril socialiste, marqua sa satisfaction, crispée derrière les fards. Des transfuges Verts et Modem tapissent un marketing politique qui laisse incrédule un électorat qui, jusqu'à présent, ne doutait pas de Ségolène Royal... Pourquoi tant de précipitation ? Pourquoi torpiller les réservoirs électoraux ? Dans le camp de Ségolène Royal, le doute se répand : les conseillers fourvoieraient la présidente ! Éconduite par les siens, madame la présidente-candidate perdrait le fil d'Ariane...
Il est encore temps de se ressaisir en arrêtant l'humiliation publique dont le président du Modem est la victime. Plutôt que de continuer à mettre à mal la modération politique française, Ségolène Royal doit essaimer les ferments de la réconciliation en laissant au Modem toute la place qui lui revient dans la République. |
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