Choukri Ghanem, passeur de Sarkozie
RICM : Hollande, Sarközy, qu'avez-vous fait de Kâpîssâ ?
RICM : François Lecointre, parole du Général, ministère assumé
RICM : le général Lecointre dans les pas du président Chirac
La malédiction LGV conjura l'égalité républicaine
Hexagonal paradigme du parjure républicain
France, qu'as-tu fait de ta République ?
Séguin lègue le Fillon de la discorde
Sarkophilie : syndrome « SECU efflanquée »
Sarkozy, VRP de la finance islamique
À Londres des résistances en fleurs
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14ème Chronique
RICM : Hollande, Sarközy, qu'avez-vous fait de Kâpîssâ ?
Kritix, le Sunday 20 May 2012 -
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Les USA ont lutté contre les Talibans. Les USA veulent la paix avec les Talibans. Du Guesclin, France d'airain ! Chevaleresque reste caractère du génie militaire. Général deux étoiles, François Lecointre, commandant d'armes de la place de Poitiers, commandant de la brigade légère blindée de Marine ; fédérateur il rassure à entendre patriotes, à observer cohésion nationale, républicaine, démocratique. Sens de l’État, service rendu à la République témoigne d'une noblesse historiée en pacifications françaises redevables de sacrifices patriotiques ; abnégation d'une armée professionnelle et moderne. Vicissitudes des temps n'aura de prise sur la flamme d'une France une et indivisible qui, au matin des grands périls, s'en remettra à ses soldats.
RICM : Task Force La Fayette mandat 3 au champ d'honneur de Kâpîssâ
Près de 4000 soldats français dans la province de Kâpîssâ au printemps 2011. Mission en zone périlleuse et stratégique pour tenter de regagner les cœurs et les esprits, vœu pieux américain, réalité qui deviendra française.
Exception française qui confirme la règle atlantiste.Le général Jean-François Hogard, commandant de la Task Force, et le colonel Henry de Medlege auront durant toute la mission accomplis ce que l'OTAN ne réussira jamais : pacifier un peuple afghan inféodé à l'auto-détermination, opium de certains peuples.
Le grand reporter Didier FRANÇOIS, le général François LECOINTRE du RICM, le colonel Michel GOYA et le colonel Henry de MEDLEGE (de gauche à droite) aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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Janvier 2012 : l'héritage des soldats de La Fayette sera totalement anéanti par l'opportunisme américain qui daigne négocier l'impensable avec les Talibans ! Le président américain Barack Obama préfère le chaos afghan à un monde arabe pacifié. Le président français François Hollande accède à cette faiblesse par politique de courte vue ! Hubert Védrine que faites-vous ? Depuis des décennies les américains servent plus ou moins ouvertement les intérêts talibans dans leur seul intérêt de politique étrangère, du moins le croient-ils : God bless America ! Que le chef des armées françaises de juin 2012 s'en souvienne !
Quand le lycée français de Kaboul accoucha d'un Lion
Christophe de Ponfilly avait su célébrer l'Afghanistan d'un Islam modéré, éclairé. Le pieux commandant Ahmad Shah Massoud fit trembler les Soviétiques, trembler les Talibans, possible Saladin assassiné par l'autisme occidental à la veille d'un 11 septembre 2001. Les Jumelles détruites, les USA du Talion allaient combattre en grande candeur drapés, les ex-alliés américano-talibans définitivement privés de l'indispensable Massoud, meilleur ennemi du terrorisme international, cauchemar des Talibans et francophile.
Tenir l'Afghanistan, c'est contenter les chefs tribauxDepuis les irréductibles et félines montagnes du Panjsher, en creux les vallées et Kâpîssâ la provinciale sont autant terres arables striées de rivières que torrents himalayens. Y subsister est chasse gardée : gageure ethnique, clanique défendue par les Pachtouns , les Tadjiks... D'autres continuent en vallées du Panjsher à se battre contre la nature, les migrations : la terre n'appartient qu'à celui qui se bat pour elle. Traditions et coutumes feront le reste. Les guerres tribales, voire fratricides relèvent de la subsistance dans des espaces vitaux rares et enclavés.
Le grand reporter Didier FRANÇOIS aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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Ainsi vont les alliances, de trahisons en réconciliations depuis des générations et des générations. Contexte que ceux de La Fayette ont dû au cours de leur mission , gérer humeurs et complots de ceux des civils tantôt alliés tantôt ennemis, selon des intérêts particuliers, toujours négociables. Déjouer les écueils de cette logique infernale, devenait possible à partir du moment où les soldats français surent se faire accepter des civils afghans, en leur montrant combien l'intérêt de tous était la paix et la reconstruction de l'Afghanistan, pour chacune des souverainetés tribales ; asseoir les légitimités de la tradition et mettre un terme à la Terreur. La présidence Sarközy décida l'alignement de la France dans l'OTAN. C'est dans ce reniement subi, que les soldats de la Neuvième durent accomplir une mission de combat contre matrice et organigramme de la nébuleuse Al-Qaïda en province de Kâpîssâ. Participer de la lutte contre le terrorisme international relève tant du renseignement que de la ruse au combat : le feu massif étant l'axe fanatique de la brute et du truand ; Errance et damnation que l'avant-garde française arriva à conjurer en mission...
Mépris pour le pays, déni pour la PatrieAinsi, allaient au combat les engagés de la Task Force La Fayette mandat III d'octobre 2010 à mai 2011 : couper la voie sacrée au ravitaillement Al-Qaïda. En première ligne, le drapeau tricolore claqua au vent tourbillonnant, l'anglicisme en prête-nom, l'atlantiste renoncement pour gouverne et porte-glaive politicien. L’insoumise flamme patriotique moqua le retranchement. Si l'ennemi est invisible, allons prêcher les Lumières là où prospère l'obscurantisme. C'est en cela que la TFL III fut exemplaire. La France, si fière de ses soldats quand la grille du coq ouvre sur un jardin républicain flétri, que le peuple souverain ne reconnaît plus. Flamme patriotique est celle qui dans les cœurs des hommes de la Neuvième porte au pinacle des Invalides, les dignités d'un peuple abandonné aux marchands ! Faust n'aura pas la Neuvième.
« Gagner les cœurs et les esprits » était le mandat III, sauver des vies afghanes fut la « french touch » de la TFL III« Une guerre qui ne dit pas son nom », un Afghanistan qui enlise celles et ceux voués aux gémonies, après que leurs ombres impérialistes ne les aient rattrapées. Le commandement interallié ne trouva que désolation derrière ses fausses pudeurs.
Le grand reporter Didier FRANÇOIS, le général François LECOINTRE du RICM, le colonel Michel GOYA et colonel Henry de MEDLEGE (de gauche à droite) aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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Salons de Blossac de Poitiers à l'automne 2011... Didier François, grand reporter, trépidante élocution de l'urgence :
La vérité tranchante de l'offensif colonel et historien Michel Goya
« L'engagement de la coalition, de manière générale, touche à sa fin parce que les américains en ont décidé ainsi. Le président Obama avait promis qu'en 2014 il n'y aurait plus d'unités de combats, ce qui ne signifie pas nécessairement plus de troupes américaines. […] Dans le cadre d'une coalition asymétrique [avec la prédominance US, Ndlr], c'est la première fois pour nous français que nous sommes engagés dans une campagne de ce type : de lutte contre une organisation non-étatique. C'est la première campagne où nous ne sommes pas des leaders. […] Ceux qui prennent la décision, c'est l'actionnaire principal : les États-Unis d'Amérique […] 2014, ce sera aussi fini pour nous aussi et peut-être même plus tôt, en fonction des enjeux de politique intérieure... » La Présidentielle française de 2012 lui donnera raison.
Réunion publique du RICM aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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« Du point de vue local, il est probable qu'une fois que les forces de la coalition se seront retirées, rien n'aura changé fondamentalement. […] On restera dans une zone pro-gouvernementale centrée sur Kaboul. Avec une démocratie imparfaite, mais une démocratie quand même. Avec un début de développement économique. Et une zone dominée par les Talibans, essentiellement dans les zones rurales du sud-Pachtoune qui sont tenues très solidement par ces gens-là. « Alors ce qu'il risque de se passer, c'est que l'on va rester dans cette situation d'équilibre instable, que la guerre va durer longtemps en Afghanistan qui semble condamné à être perpétuellement en guerre... Mais un équilibre instable qui finalement peut satisfaire à peu près tout le monde, surtout s'il y a des changements brutaux de la part de l'extérieur. Si par exemple, les américains ne souhaitent plus soutenir financièrement le gouvernement Karzaï et d'aider l'armée. On est quand même dans une situation où l'armée nationale afghane est payée par des étrangers ! L’État afghan est incapable de payer sa propre armée. Donc si un beau jour les américains décident la suppression, pour des raisons économiques, de cesser à fournir cette aide, l'armée peut s'effondrer de la même façon que l'armée sud-vietnamienne en 1975 qui s'est effondrée dés que le Congrès américain a voté contre poursuivre l'aide. » « On peut aussi imaginer une réhabilitation du Pakistan : acteur majeur régional, c'est la clé, c'est allié objectif des Talibans. Ou enfin plus exactement, les Talibans ont été un instrument dans la région. Si les pakistanais décident de s'impliquer plus largement ou d'aider plus largement les Talibans, comme en 1994, cela peut faire basculer cette situation. Mais très probablement, on va installer un conflit larvé avec des changements d'alliances de part et d'autre et cela pendant un certain nombre d'années. Ce qui peut satisfaire le Pakistan, parce que c'est l'arrière de l'Afghanistan. Et la grande peur quasi irrationnelle des pakistanais, c'est d'être complètement encerclés [par l'Inde et l'Afghanistan, Ndlr]. Donc à la limite, un Afghanistan neutralisé par ce bocage peut satisfaire. Ce bocage peut aussi nous satisfaire tant que l'Afghanistan ne disparaîtra pas comme l'un de nos membres et tant que les choses tiennent. On peut estimer qu'on a à peu près rempli le contrat comme le disaient les soviétiques après leur départ où la situation a effectivement perduré pendant quelques années.
« Plus généralement aussi, on peut même imaginer que le départ de la coalition veut aussi abaisser un certain nombre de tensions vis à vis de l'Iran. On se retrouve quand même dans une situation où les américains ont débarrassé l'Iran de deux de ses ennemis : Saddam Hussein et les Talibans de Kaboul. Il n'y aura plus d'américains en Irak et ils sont en train de se replier de l'Afghanistan. Et donc, on peut imaginer, c'est l'Histoire qui le dira, que l'Iran, la paranoïa de l'Iran diminue. [...]
Réunion publique du RICM aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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« Donc cette guerre semble en voie d'être gagnée. […] Alors est-ce que l'on peut imaginer un retour des bases terroristes dans les zones tenues par les Talibans au sud afghan ? Rien n'est moins sûr. Il n'est pas sûr que les Talibans aient envie à nouveau de réaccueillir les offices internationaux auprès d'eux. Les afghans eux-mêmes n'ont pas pratiqué le djihadisme international. […] Est-ce ce que ce qui peut paraître comme une défaite va stimuler le djihadisme international ? Là aussi le contexte a beaucoup changé. Le 'printemps arabe'' est passé par là également et redistribue très largement les cartes dans cette région du Monde. […] Et je dirai que çà a un peu facilité notre repli d'Afghanistan. » « Au passage, un autre aspect qu'on néglige un peu, c'est l'opium. En fait, l'Afghanistan est de très loin le premier producteur mondial d'opium. L'opium tue chaque année beaucoup plus que le terrorisme : ce qui ne suscite pas beaucoup d'émotions. »
Coûts humains et matériels pour la France
« On approchera vraisemblablement la centaine de soldats tués en Afghanistan en 2014. On aura aux alentours de 500 à 600 blessés graves. On aura perdu de manière visible l'équivalent d'un régiment dans cette guerre. […] Mais aussi les gens qui auront des blessures psychologiques, ceux qui vont quitter l'institution. Donc des pertes secondaires pour l'institution que l'on aura du mal a mesurer.
« Le travail des forces françaises est remarquable avec la formation de l'armée afghane. Une grande partie des officiers afghans sont formés par des français […] qui vivent avec eux, combattent avec eux, sont là pour les conseiller, les encadrer.
Le général François LECOINTRE (à gauche) du RICM, le colonel Michel GOYA (au centre) et le colonel Henry de MEDLEGE (à droite) aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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Le grand reporter Didier François évoquera les mentalités afghanes par anecdote d'un virement bancaire qui se fera sur le tapis et sans aucune technologie dans un temps record ! Et de terminer en qualifiant le terrain : « L'Afghanistan c'est une zone de transit, c'est un bazar ! ». Pour lui, la tradition française de concertation qui responsabilise les acteurs locaux est la bonne méthode.
Le chef d'état-major de la Task Force Lafayette III, Henry de Medlege, sur l'aide contre-productive :
Confiance, mère du Renseignement
Le colonel de Medlege, l'expérience accrochée à la boutonnière :
Le général François LECOINTRE (à gauche) du RICM et le colonel Michel GOYA (à droite), aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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« On a une palette de renseignements liée aussi à une série de drones. Soit qui étaient des nôtres au niveau du bataillon, soit du niveau de la brigade ; et puis niveau encore au-dessus qui était dans le pot commun avec les américains ; et donc nous recevions aussi d'autres éléments en direct... de renseignements-imageries.
Le renseignement d'eunuques« Il y a un deuxième type de renseignements... C'est le renseignement, je dirais, de l'action immédiate qu'on avait perdu un certain temps. Comme nous sommes au niveau d'une brigade, c'est un niveau tactique. Alors il y avait le niveau au-dessus qui était à Kaboul et qui nous donnait les renseignements stratégiques. Mais au niveau tactique, le renseignement est bon si c'est du renseignement à des fins de combats. Si c'est du renseignement pour analyser, se faire plaisir, comprendre la zone et faire de beaux rapports, c'est du renseignement d'eunuques ! » « Du vrai renseignement, c'est un renseignement qui a une capacité de confirmation qui peut être dans tous les domaines — aussi, avec nos amis allemands qui ont d'excellentes sources de renseignements. [Du vrai renseignement, c'est un renseignement] avec une capacité de confirmation parce que un seul renseignement ce n'est pas satisfaisant. [Du vrai renseignement, c'est un renseignement] avec une rémanence de cette information [qui] est couplée à une capacité d'action et de frappes immédiates. Là, ce type de renseignements est pour nous un renseignement valable. »
Réunion publique du RICM aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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« Alors çà a deux vertus. D'abord, cela agit sur la diminution de la pression de l'insurgé par des actions directes qu'il ne comprend pas toujours. Et deuxièmement, nous avions par cela une véritable autonomie de la compréhension du terrain. Je prends un exemple assez simple. En terme d'incompréhension avec nos alliés, c'était plutôt logique parce qu'ils n'étaient pas dans le même raisonnement... Souvent ils ont des armements de dimension industrielle... Ils ont des moyens colossaux et l'on raisonne avec, je dirais, avec un côté contrôle de l'espion, parfois. Lorsque le combat avait pour conséquence la mort d'insurgés ennemis, il ne s'agissait pas de dire l'opération s'est passée, parce que l'objectif n'est pas de tuer l'insurgé, mais l'objectif est souvent de [contrôler le] terrain. [L'objectif] est aussi à travers un certain nombre de messages et à travers une présence permanente, une montée en puissance là-bas. Et d'ailleurs, souvent dans les opérations où il y avait des morts d'insurgés, on ne donnait pas les résultats tout de suite en matière de renseignements, parce qu'on voulait s'assurer qui avait été tué, où, par qui, par quoi, quand et comment. « Enfin et pour finir, j'ajoute que le renseignement c'est bien, mais c'est la façon de ce que l'on en fait : la compréhension du terrain et l'intelligence humaine... C'est-à-dire que c'est par le contact humain... C'est ce qu'il y a de plus important, parce qu'il ne s'agit pas de verser dans les statistiques et analyses... Il s'agit de faire du renseignement à des fins d'actions. Et nos alliés l'ont compris au mois de décembre après une grosse opération, après beaucoup d'attente... Et ils ont été très intéressés par cette façon de faire... Je dirais la patience que nous avions en ce domaine. »
Le sang froid des Tigres et du CAESAR
Les morts n'entament pas le sang froid. Le colonel Medlege parla sagesse des rangs français :
Réunion publique du RICM aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
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« Un deuxième exemple... Le deuxième régiment d'infanterie de marine dans le sud, pour une opération particulière a demandé à la brigade, à nous, des moyens en hélicoptères pour pouvoir poser en avance de phase, des observateurs sur des hauteurs ; avant de mener l'opération principale d'observation et de capacité de renseignements et de feu, par les renseignements. Nous n'avions pas les moyens, il y avait un problème de disponibilité-machine et puis ce n'était pas la priorité, ce n'était pas le P1, nous n'étions pas dans la ligne américaine P1 des français. On était P2 dans cette opération parce qu'il y avait des choses beaucoup plus importantes. Donc le chef de corps a dit : ''Mais comment voulez vous qu'on passe ? En fait c'est l'argent du pays des mulets... Finalement, ils sont montés avec des personnels de nuit avec des mulets qu'ils avaient loué un peu plus loin, avec tout son harnachement et son matériel, pour pouvoir monter dans la montagne ! C'est l'exemple extrême opposé à la technologie, mais qui a rempli la mission qu'il pouvait avoir. La seule chose qu'on a demandé par radio c'est ''j'aimerais quand même avoir, pour le retour, des hélicoptères parce que je n'ai vraiment pas envie de redescendre à dos de mulet !'' Voilà un exemple technologique versus les moyens atypiques. » Fier de ses hommes, rusé comme un sioux, le colonel Henry de Medlege avait servi la République. Armées françaises, sentinelles de l'UE RICM : François Lecointre, parole du Général, ministère assumé RICM : le général Lecointre dans les pas du président Chirac |
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