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13ème Chronique

RICM : François Lecointre, parole du Général, ministère assumé

Kritix, le Monday 9 January 2012 - 8824 consultations - Commenter la chronique

Si l'ancre de l'amiral poitevin de Bonnivet fut défaite devant Pavie, l'ancre du général Lecointre du RICM poitevin sait garder bonne mesure, toujours levée pour le bleu horizon. Voilà un dignitaire qui ne craint pas ses compatriotes. Un responsable qui ne s'affiche pas comme ami de Georges Walker Bush.

RICM : « Recedit Immortalis Certamine Magno »

Réunion publique du RICM aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
© kritix.com

Historiquement loyale à Paris depuis les origines de la nation française, Poitiers est ville de garnison dés 1872 jusqu'en 1994 avec le 125ème régiment d'infanterie. Le RICM lui succède à Poitiers en juillet 1996 avec la professionnalisation des Armées voulue par les présidences Chirac.
       Guerre du Golfe, Somalie, Iskoutir, Turquoise, Sarajevo, Côte d'Ivoire, sont autant de missions accomplies sobrement par celui qui allait accéder au généralat à 49 ans ; après avoir servi au cœur des affaires ministérielles, après avoir accédé aux commandements dont celui du RICM — régiment le plus décoré de France —, de la neuvième brigade légère blindée de marine. Son état-major est basé depuis 2010 au quartier Aboville de Poitiers. Cette brigade relève du CFT basé à Lille.
       Le général de brigade Lecointre, tel le cadencement de « la guerre des Gaules », veille à être définitivement acteur d'une armée de Terre opérationnelle et utile, efficace et économe, éthique et pacifique.

Dignité républicaine ou comprendre les français pour mieux les défendre.

Aux salons de Blossac, au soir d'un 9 novembre 2011, les élus municipaux Maurice Monange, Alain Claeys et Patrick Coronas, représentèrent Poitiers comme il se doit. Le grand argentier Francis Chalard étaient là, lui aussi : le RICM participe de la richesse poitevine depuis les triomphes républicains de l'ordre ancien.
       Le général de la neuvième dira son attachement, son respect du Politique, sa satisfaction devant le maire qui « tenait à être là » et bon camarade, le général deux étoiles s'amusa à garder les élus Monange et Coronas « en otage » : le premier édile et son éminence devaient se rendre au TAP pour réfléchir sur le métier du journalisme, de ce qu'il reste de l'investigation, des liaisons dangereuses entre décideurs, communicants et relais « indépendants »... avant de partir pour d'autres cieux, impatientes ambitions.

Un général d'une armée de terre qui fait contre mauvaise fortune des coalitions, bon cœur républicain  ; qui se penche sur le théâtre des opérations afghanes, quadratures à la complexité des bonnes et mauvaises raisons des atermoiements géostratégiques. Provisoirement atlantiste, la France du plus petit dénominateur commun, oblige ses soldats à répondre du bon vouloir US. La souveraineté nationale est ainsi malmenée par l'affront fait à la croix de Lorraine. Décidément loyaux, nos soldats remplissent leurs missions par ce tact qui honore un état-major à la manœuvre.

Une acuité française... Le mémorable assaut du capitaine Lecointre dans le Sarajevo de 1995 est déjà loin. À l'été 2011, François Lecointre est nommé général au RICM de Poitiers. Loyauté avec le politique, fidélité aux valeurs de 1958. Il y a dans l'institution militaire des résistances étatistes et la France peut en être fière. Et çà c'est très français et c'est plutôt rassurant. Ces français qui parfois se trompent, mais qui de leurs méfaits feront assurément un bienfait. La France se relèvera, optimiste. Même une grande Muette en dit long. Nos élites parfois brillantes, parfois beaucoup moins, ont toujours su garder cette flamme patriotique et universelle tellement française. Si « un quarteron de généraux en retraite » ne saurait être plus royaliste que le roi, un général derrière un micro peut lever les résistances.
       Le général Lecointre ne veut pas de langue de bois, mais d'une armée providentielle. Il communique comme sa conscience lui commande : au plus près des citoyens. Réconcilier la société civile et ses soldats, telle est sa mission dans une société où la crédibilité du politique part en lambeaux. Ayant travaillé au ministère, il rendra hommage à la dignité politique, à elle seule garante d’institutions démocratiques dans une Représentation nationale équilibrée à l'image de ses compatriotes. N'est-ce pas l'aimer, qu'essaimer ? Il n'y a pas d'humanité sans émotion.

Vous, François Lecointre, qui avez plaidé une cause nationale, songez que « deux mille ans d'Histoire vous contemplent » !

SI VIS PACEM, PARA BELLUM

Une paix se gagne par une diplomatie armée du glaive et du Verbe. Universelle, la France est une Providence à la ville et au monde. Le RICM est l'un des exemples qui essaiment dans les esprits, le nouveau monde... L'Histoire de France est aussi marocaine. Le RICM est aussi de mémoire marocaine. L'histoire de France s'est construite par les armes, les idées, le commerce, les migrations humaines. Les terrains militaires de Biard vibrent encore au son des entraînements ; le drapeau hissé au magasin et à la caserne a fière allure dans une ville de Poitiers, hommage-lige fait aux soldats d'un État-Nation.
       Le général François Lecointre parla franchement ; d'une voix claire il mènera sa plaidoirie devant civils, militaires et élus. Magnanime, le général partit à la hussarde :

Le général François LECOINTRE (à gauche) du RICM et le colonel Michel GOYA (à droite), aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
© kritix.com

« Je vous remercie d'être venus nombreux, j'en n'espérais pas tant. C'est une heureuse surprise. Et en remerciant nos élus ici présents et monsieur le député-maire de Poitiers, merci beaucoup. [...] Cette soirée a pour but un échange entre les militaires de Poitiers et leurs concitoyens. L'objectif il est multiple... D'abord, les soldats ont besoin d'être reconnus, d'être accompagnés dans leur action. Et quand ils partent au combat, d'être soutenus par la population qui les envoie au combat. Et donc pour nous qui sommes leurs chefs, nous avons donc ce devoir, de faire en sorte que l'action des soldats soit connue, valorisée aussi. Et pour les poitevins qui sont ici, pensez à toutes les jeunes femmes et à leurs enfants qui voient partir leurs maris sur des théâtres d'opérations extérieurs : c'est souvent très difficile. »

L'armée thaumaturge

« Le deuxième objectif, beaucoup plus ambitieux, c'est ce lien réel entre l'armée et sa Nation. Il est un objectif très politique. Je suis persuadé, à titre personnel, que notre société est aujourd'hui malade de son individualisme. Je pense que nous, militaires, nous avons à cet égard un devoir de témoignage, parce que rien ne peut plus inspirer le sentiment collectif, me semble-t-il, que l'aspect militaire. Parce que rien n'est plus essentiel à une collectivité, à une société, à une Nation, que de décider, de porter la violence à l'étranger s'il le faut, pour défendre son territoire, défendre ses valeurs, défendre ses idées ! Et c'est ce que nous faisons. Et je pense donc que, dans l'intérêt de la Nation, il faut que les armées, qui sont un élément parmi d'autres, puissent s'inscrire dans ce sentiment collectif et témoigner de cela. »

« Nous allons élire le chef des armées ! », le général François Lecointre

« Je pense enfin que la France bien sûr a un rang particulier en intervenant partout à travers le monde et parfois sans avoir les moyens suffisants pour le faire. Je ne suis pas certain que ça durera éternellement. Vous savez, depuis la fin de la guerre froide, les budgets de la défense n'ont cessé de servir de variable d'ajustement durant ces périodes de rigueur budgétaire. Et je crois que au moment où s'ouvre cette période d'élection essentielle, nous allons élire le chef des armées ! C'est important et absolument essentiel. Il est important pour les citoyens qui vont avoir le devoir de s'informer politiquement pour voter en conscience et en toute intelligence, qu'ils n'oublient pas que l'un des domaines qui doit faire bouger, qui doit faire adopter une attention particulière, c'est le domaine de la Défense et des Armées. Voilà pourquoi je crois qu'il est important de restaurer ce lien entre l'armée et la Nation et ici plus modestement à Poitiers entre les militaires qui sont parmi vous, le Régiment d'Infanterie de Chars de Marines bien sûr, mais également l'état-major de la deuxième brigade des chars de marine et le détachement du matériel, qui sont les trois principales entités présentes ici. »

La France est malade de ses dirigeants vassalisés qui ne l'écoutent plus !

Le général Lecointre laissa parler le patriote :
       « Ce que je souhaite est un peu compliqué... Comme vous le savez je suis tenu en tant que militaire à mon devoir de réserve. Ceci étant, je n'ai pas une vision étriquée de mon devoir de réserve et je n'ai pas l'intention de me cacher derrière mon devoir de réserve pour m'interdire de témoigner, de parler à mes concitoyens, pour répondre à leurs questions. Je crois que c'est important.
       Néanmoins l'exercice est compliqué. Ce que nous avons choisi de faire, c'est de faire témoigner le colonel Henry de Medlege qui est le chef d'état-major de la brigade. Il a été engagé à la tête de l'état-major jusqu'au mois de mai dernier pendant 6 mois en Afghanistan. Et il pourra témoigner très précisément et dire très concrètement ce qu'est une action tactique d'une brigade comme la nôtre de soldats français sur une aire aussi complexe que celle du théâtre afghan.
       Après, pour qu'il puisse y avoir possibilité d'un point de vue croisé, un peu décalé, différent, critique, parce que la critique est absolument indispensable, nous allons demander [d'intervenir] à un journaliste monsieur Didier François, grand reporter à Europe 1. Il a été grand reporter à Libération, il a croisé les soldats sur tous les théâtres qu'il n'a cessé d'arpenter [...].
       Et puis après, on passera à Michel Debien qui est aujourd'hui membre éminent et chargé de recherches et d'études à l'institut de recherches stratégiques de l'école militaire. Il est spécialisé en histoire contemporaine et il se spécialise en particulier sur l'étude des nouveaux conflits. Le colonel Debien qui est un excellent camarade, je ne vous le cache pas c'est quelqu'un d'absolument admirable. D'abord, parce que c'est une sorte d'intellectuel qui par ailleurs a été un vrai soldat, qui a commandé des troupes amies en opérations et qui a été confronté à la difficulté de terrain. Par ailleurs, c'est quelqu'un de courageux, qui ne mâche pas ses mots et qui dit ce qu'il pense, avec tout le courage et les qualités intellectuelles. »
Devant l'hommage, le colonel fit preuve d'humilité.

Réunion publique du RICM aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
© kritix.com

Une demi-heure plus tard, le général Lecointre s'employa au discours de vérité :
       « Il ne faut pas se cacher derrière certaines pudeurs de mots. Vous avez bien compris que neutraliser cela voulait dire tuer. Et parce que la technicité du métier est confrontée à l'acte essentiel de prendre et d'enlever la vie, elle n’exonère pas d'une réflexion plus large en se plaçant dans le temps, dans la durée, sur ce que deviendra ce pays [l'Afghanistan, Ndlr] sur les raisons de notre intervention, sur la légitimité de nos actions qui doit nous interroger. [...] C'est la difficulté quotidienne du soldat qui se pose des questions sur les raisons de sa présence, de ses missions, des dangers qu'il encourt. Aucune question n'est taboue : au contraire elles nous permettent, à nous, de progresser. »

« Je crois qu'il n'y a pas plus romantique, ni plus sentimental qu'un soldat ! », le général François Lecointre

« L'une de nos principales motivations étaient de rester à tout prix le meilleur ami des américains. Il fallait être de celui qui allait bénéficier de la priorité de ses moyens. [...] L'une des motivations politiques de l'entrée en guerre de la France au niveau où elle le fait, aux côtés de son allié américain, c'est sans doute de se montrer comme le meilleur ami des américains. Et ça non plus on ne peut pas l'évacuer complètement. C'est pas une injure en soi que de se dire finalement que de pouvoir rester tactiquement un des meilleurs auprès de notre ami américain, correspond aussi à la finalité politique de notre engagement. [...] La situation n'est pas manichéenne, même si c'est tentant pour l'opinion publique de dire qu'il y a de vilains terroristes et de gentilles victimes. Et la population qui est sur place, qui en réalité a toujours été en guerre — parce que cet État a toujours été comme çà, si on peut parler d’État — instrumente les troupes étrangères présentes à leurs propres profits et pour leurs conflits internes. Et çà c'est très compliqué pour les soldats, parce que les soldats sont des sentimentaux. Alors çà fait souvent rire les gens. Je crois qu'il n'y a pas plus romantique, ni plus sentimental qu'un soldat à cause de cette proximité à la mort évidemment. Et un soldat a besoin de cette relation sentimentale avec la population à laquelle il souhaite s'attacher, à laquelle il aimerait donner sa vie. Et sur place, le soldat a envie d'être le protecteur d'une partie de la population. Et donc, il est un peu et facilement une victime de çà. Et puis çà reste aussi un sentimental aussi qui a envie de gagner. Qui a envie un jour d'avoir rencontrer la bataille. Et, de revenir en portant en soi le triomphe et en ayant remporté une victoire définitive. [...]
       Dans beaucoup des conflits modernes dans lesquels nous sommes engagés depuis la fin des modèles de référence qui étaient les deux guerres mondiales avec une vraie fin et la signature d'un armistice et la paix, la grande difficulté c'est que nos soldats apprennent à se résoudre à se contenter de peu finalement ; qui est énorme en fait ! À se contenter de ce que le pire ait été évité. À se contenter de demi-solutions, jamais très satisfaisantes. Et pourtant c'est ce qu'on leur demande de faire. Et je crois qu'il faut que vous mesuriez à quel point c'est difficile pour eux et à quel point c'est compliqué pour vous, notre population, notre société, de porter au crédit de vos soldats qu'ils ont pu éviter le pire. »

Le général François LECOINTRE (à gauche) du RICM, le colonel Michel GOYA (au centre) et le colonel Henry de MEDLEGE (à droite) aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
© kritix.com

Une heure passa et le général parla avec gravité de l'avenir, en doutant que la France se soit donné les moyens de maintenir opérationnelles ses forces armées :
       « Il y a des luttes internes entre les armées, en particulier en période de vaches maigres bien évidemment. Chacun défend sa propre approche de la gestion de la crise, de la conduite de la guerre, ce qui intervient soyez-en bien persuadés, dans ces confrontations d'approches qui sont fondées sur des visions tactiques et géopolitiques des métiers marins, aviateurs et terriens... Tous les trois ont des manières complémentaires et différentes de voir la guerre. Interviennent la-dedans des intérêts extrêmement puissants. Et derrière ces intérêts il y a deux choses : il y a les emplois et tout de suite le bassin industriel et de défense. Je rappelle que la France a conçu une partie essentielle de son bassin industriel et technologique, à la fin de la seconde guerre mondiale, sur l'effort qu'elle a consentie. Il y a une relation directe entre l'action sur le terrain et les enjeux nationaux. »

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« C'est pas la guerre d'Afghanistan qu'on a conduit, c'est la guerre en Afghanistan. Les terroristes, les fauteurs de troubles se transporteront dans d'autres zones grises et dieu sait qu'il y en a ! Il s'en crée tous les jours. Et chaque fois qu'un État faillit, il y a une zone grise qui se crée (Somalie, région subsaharienne, etc.). Et là on peut se réfugier derrière l'illusion technologique qui peut permettre de penser qu'on peut se contenter d'une simple puissance en agissant de loin sans s'exposer, en s'appuyant sur les appareils technologiques, en continuant à entretenir une dissuasion nucléaire qui coûte extrêmement chère à la défense française. Mais en réalité, est-ce que çà c'est pas aussi, pour un grand pays comme la France, éventuellement, de fuir une partie de sa souveraineté ? L'illusion du symbole de puissance compte également l'engagement d'une puissance réelle. Même l'idée est réelle, c'est-à-dire une véritable capacité à agir sur le cours des choses et des événements. Et je pense que c'est évidemment le soutien entre les deux qui fonde le rôle de la France dans le monde. »

Le grand reporter Didier FRANÇOIS, le général François LECOINTRE du RICM, le colonel Michel GOYA et colonel Henry de MEDLEGE (de gauche à droite) aux salons de Blossac de Poitiers le 9 novembre 2011.
© kritix.com

L'intervention militaire doit rester un savant équilibre entre le soldat en opération et la technologie. L'OTAN verse par ignorance dans la destruction massive, quand le soldat français cherche à préserver les vies des civils en allant au-devant du péril pour mieux comprendre la psychologie de l'énnemi. Le 5 décembre 2011 la communauté internationale promet à l'Afghanistan, son aide jusqu'en 2024. Le général Lecointre mit en garde ses compatriotes afin qu'ils ne soient pas oublieux de l'éthique, chaînon essentiel d'une paix à établir et de territoires à reconstruire :
       « Concrètement, les moyens électromagnétiques ou de prises d'images ou de renseignements humains, sont toujours combinés. [...] Pour nous, comptabiliser les morts est extrêmement dangereux d'un point de vue éthique. Et sachez-le c'est une tentation constante. Ce sont des chiffres qui ne s'exportent pas. Et même en interne, on ne les exporte pas. Et nous essayons en permanence de rappeler à nos soldats qui ne partent pas au combat pour tuer, même si c'est un devoir qu'on leur demande de remplir, mais qu'ils combattent pour obtenir un objectif de nature tactique. [...] Je tiens à dire qu'il y a une pratique de recours au feu massif et de puissance de l'armée américaine qui n'est pas celle de l'armée française. C'est une tradition de l'armée américaine, c'est d'abord inscrit dans leurs mentalités, c'est aussi parce que c'est une armée très industrielle, puissante, qui a les moyens de cette logistique. Parce qu'il faut une logistique très lourde pour être capable d'employer des feux aussi massifs.
       Donc nous n'avons ni ces moyens, ni cette culture, ni cette tradition. Je crois qu'en plus il y a une tradition un peu chevaleresque à la française qui fait que, en particulier dans ce type d'opération
[afghane, en vallée de Kapisa, Ndlr], le soldat français s'expose au plus près des populations, au plus près de l'ennemi. Parce que la meilleure façon d'éviter les victimes civiles, qui sont contre-productives au combat, c'est précisément de s'exposer au combat. Et de traiter à courte distance avec les armes légères d'infanterie. Et donc çà coûte moins chère. »

Durant cette réunion publique, le général dira à l'auditoire poitevin : « Je crois que c'est un exercice salutaire pour tous. » Ces dernières décennies, les français oublieux du rôle de l'armée, gardienne des intérêts vitaux, sauront bientôt retrouver, se tourner vers l'ultime recours, une disponible armée moderne, éthique et chevaleresque. Une armée aux racines du gaullisme.

L'apport discursif du général François Lecointre permet désormais de conter les apports du champ d'honneur en vallée de Kapisa...

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